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Ô! Plume errante, plume perdue,
Encre serpentant les dunes éperdues.
Où mots , vers n'est que sable,
Nid de source intarissable;
Se jetant au fond d'une cuvette,
Oasis, où rime vie secrète.
Lieu de repos sans le moindre doute,
Au voyageur, à la chamelle qui broute.
De son parchemin précieux de nomade,
Coud une outre, à la soif une parade.
Dans l'immensité de l'étendue des dunes,
Sous le ciel étoilé et clair de lune.
Le nomade chante de belles rimes,
L'écho, s'en vole au delà des cimes.
Au rythme d'un joyeux air,
La plume trace d'humbles vers,
Dans le sillage des pas dandinant,
De la chamelle qui fait des oui et des non,
De la tête, bravant les lieux et temps,
Pour arriver ailleurs, on met du temps.
Elle fait confiance à son chamelier,
Insoucieux, son dos lui est trop familier.
Chante la beauté de sa dulcinée,
Alors que d'elle dépend sa destiné.
Je me retire d'un clin de cil du décor,
Laissant la plume seule témoin encor.
Admirative du grand voyageur,
Traversant le néant sans la moindre peur.
Relatant sa tranche de vie en aventure,
sans ponctuation, si tu désires.
La vie commence par la bouffée qu'on respire,
et finit par la dernière qu'on expire.
Entre les deux, il y' a bien un temps,
Il faudra remplir pour vivre longtemps.
Le début de mes mots est une majuscule,
Un joli point noir, pour le vers final.
25 Novembre 2018
Encre serpentant les dunes éperdues.
Où mots , vers n'est que sable,
Nid de source intarissable;
Se jetant au fond d'une cuvette,
Oasis, où rime vie secrète.
Lieu de repos sans le moindre doute,
Au voyageur, à la chamelle qui broute.
De son parchemin précieux de nomade,
Coud une outre, à la soif une parade.
Dans l'immensité de l'étendue des dunes,
Sous le ciel étoilé et clair de lune.
Le nomade chante de belles rimes,
L'écho, s'en vole au delà des cimes.
Au rythme d'un joyeux air,
La plume trace d'humbles vers,
Dans le sillage des pas dandinant,
De la chamelle qui fait des oui et des non,
De la tête, bravant les lieux et temps,
Pour arriver ailleurs, on met du temps.
Elle fait confiance à son chamelier,
Insoucieux, son dos lui est trop familier.
Chante la beauté de sa dulcinée,
Alors que d'elle dépend sa destiné.
Je me retire d'un clin de cil du décor,
Laissant la plume seule témoin encor.
Admirative du grand voyageur,
Traversant le néant sans la moindre peur.
Relatant sa tranche de vie en aventure,
sans ponctuation, si tu désires.
La vie commence par la bouffée qu'on respire,
et finit par la dernière qu'on expire.
Entre les deux, il y' a bien un temps,
Il faudra remplir pour vivre longtemps.
Le début de mes mots est une majuscule,
Un joli point noir, pour le vers final.
25 Novembre 2018
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