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LA VIE… JE T’AIME, MOI NON PLUS !
La vie est semblable à cette mer en lisière de plage,
Au gré des vagues, à chaque nouveau ressac, elle varie.
Soit, elle se fait lisse et caressante, joyeux présage,
Ou bien encore, violente et brutale, est telle une furie.
Elle s’avance, conquérante, incisive, mordant le sable,
Repartant tout aussitôt, creusant un vide en son passage.
Ou alors, douce d’écume, courtoise et affable,
Laisse en son arrière, cadeau, aux tons nacrés, jolis coquillages.
Chaque jour, pour chacun, à nul autre pareil,
Ce roulis des aléas quotidiens de la vie diffère.
Tout en joie, bonheur, l’existence brille comme soleil,
Où, autre jour, autre temps, sournoise, elle s’instaure galère.
L’homme, frêle esquif, ballotté sur ces flots,
Subit les humeurs de ces éléments incertains.
Vivant sa vie, pleine mer où, échoué sur un îlot,
Jamais il n’est sûr de ce que sera son avenir, son lendemain.
D’instants de joies où de peines, ainsi faite est la vie,
Le moral s’en vient et s’en va à loisir.
Un jour, l’on déguste, gourmandise, l’existence avec envie,
Un autre, dépité, ultime déraison, de solution nul ne sait que choisir
La vie est semblable à cette mer en lisière de plage,
Au gré des vagues, à chaque nouveau ressac, elle varie.
Soit, elle se fait lisse et caressante, joyeux présage,
Ou bien encore, violente et brutale, est telle une furie.
Elle s’avance, conquérante, incisive, mordant le sable,
Repartant tout aussitôt, creusant un vide en son passage.
Ou alors, douce d’écume, courtoise et affable,
Laisse en son arrière, cadeau, aux tons nacrés, jolis coquillages.
Chaque jour, pour chacun, à nul autre pareil,
Ce roulis des aléas quotidiens de la vie diffère.
Tout en joie, bonheur, l’existence brille comme soleil,
Où, autre jour, autre temps, sournoise, elle s’instaure galère.
L’homme, frêle esquif, ballotté sur ces flots,
Subit les humeurs de ces éléments incertains.
Vivant sa vie, pleine mer où, échoué sur un îlot,
Jamais il n’est sûr de ce que sera son avenir, son lendemain.
D’instants de joies où de peines, ainsi faite est la vie,
Le moral s’en vient et s’en va à loisir.
Un jour, l’on déguste, gourmandise, l’existence avec envie,
Un autre, dépité, ultime déraison, de solution nul ne sait que choisir