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Dans le brouillard de l’automne
Le vent entre les branches chantonne
Les feuilles jaunes frissonnent
Les papillons tourbillonnent.
Sous la brume douce et légère
Chaque souffle semble une prière
Les arbres se courbent, sages et grands
Témoins du temps, des jours flottants.
Les couleurs s’estompent en silence
Dans l’air frais, la nature danse
Un dernier éclat avant l’hiver
Où l’automne chante son dernier vers.
Les chemins se perdent dans la brume
Là où le vent berce et allume
Une lueur d’or, douce et fine
Avant que la neige ne devienne divine.
Les oiseaux s’en vont, loin dans le ciel
Tandis que le sol devient frissonnant de fiel
Mais dans le silence, la terre repose
Sous un tapis de feuilles, toute chose.
Les branches nues semblent pleurer
Les dernières feuilles s’en vont, légères
Dans cette danse d’automne
Le monde s’endort, doucement, en somme.
Les ruisseaux murmurent sous la brume
Chantent des airs d’une douce insomnie
L’automne s’étire, un souffle infini
Avant que le gel ne vienne, sans bruit.
Fouzia El Mellah
Le vent entre les branches chantonne
Les feuilles jaunes frissonnent
Les papillons tourbillonnent.
Sous la brume douce et légère
Chaque souffle semble une prière
Les arbres se courbent, sages et grands
Témoins du temps, des jours flottants.
Les couleurs s’estompent en silence
Dans l’air frais, la nature danse
Un dernier éclat avant l’hiver
Où l’automne chante son dernier vers.
Les chemins se perdent dans la brume
Là où le vent berce et allume
Une lueur d’or, douce et fine
Avant que la neige ne devienne divine.
Les oiseaux s’en vont, loin dans le ciel
Tandis que le sol devient frissonnant de fiel
Mais dans le silence, la terre repose
Sous un tapis de feuilles, toute chose.
Les branches nues semblent pleurer
Les dernières feuilles s’en vont, légères
Dans cette danse d’automne
Le monde s’endort, doucement, en somme.
Les ruisseaux murmurent sous la brume
Chantent des airs d’une douce insomnie
L’automne s’étire, un souffle infini
Avant que le gel ne vienne, sans bruit.
Fouzia El Mellah