Hors ligne
Les fauvettes mutiques égarèrent les lyres
Les pupilles s'émerveillent face aux flammes ignées
Les corbeaux croassent quand mon coeur délire
Dieu pardonne! mes rancoeurs imprégnées
Tu vois, l'ego infâme a tué l'amour
Terre de verglas, corridor morbide
La douceur se jette du haut de la tour
Membres disloqués, l'enfer est avide
Un peu plus près du vide, les cinq sens endormis
L'éther m'entend, me voit, je ne sais plus...
Les pulsions explosent v'là la haine, les cris
Et le prisme réfléchie les lésions encore crues
La douceur se jette du haut de la tour
Le trou noir absorbe les astres brillants
Et le coeur blafard envie les troubadours
L'âme blanchâtre déambule dans le temps
La douceur se jette du haut de la tour
Les fauvettes mutiques égarèrent les lyres
Pardon monde, pardon corps, pardon mon amour...
Mais vois-tu, c'est le coeur qui en vain délire
Les pupilles s'émerveillent face aux flammes ignées
Les corbeaux croassent quand mon coeur délire
Dieu pardonne! mes rancoeurs imprégnées
Tu vois, l'ego infâme a tué l'amour
Terre de verglas, corridor morbide
La douceur se jette du haut de la tour
Membres disloqués, l'enfer est avide
Un peu plus près du vide, les cinq sens endormis
L'éther m'entend, me voit, je ne sais plus...
Les pulsions explosent v'là la haine, les cris
Et le prisme réfléchie les lésions encore crues
La douceur se jette du haut de la tour
Le trou noir absorbe les astres brillants
Et le coeur blafard envie les troubadours
L'âme blanchâtre déambule dans le temps
La douceur se jette du haut de la tour
Les fauvettes mutiques égarèrent les lyres
Pardon monde, pardon corps, pardon mon amour...
Mais vois-tu, c'est le coeur qui en vain délire
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