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Le Fait est que le temps a d'imparfaits effets
Muse le savez vous je vois votre derrière
Les dentelles parfois dévoilent sans pudeur
Des choses que Vénus peut exposer sans peur
Ces deux rotondités à subtile frontière
Seriez vous provocante à la limite fière
De me montrer ce dôme provoquant ma stupeur
Et si vous vous tourniez aurais-je le bonheur
De voir par transparence une jolie clairière
Le diable ou bien Éros se faisant captivant
De l’exquise façade dévoile le devant
Et l’ombre du velours ensorcelle ma vue
Ne vous étonnez point si naturellement
Se manifeste en moi une audace imprévue
Et si je me déforme inévitablement.
Poète je vois que cette soudaine ardeur
Me montre qu’à votre âge le désir est vivace
Vous avez le regard impudique et tenace
Aimant la transparence exaltant ma douceur
Auriez vous une envie conduisant au bonheur
Après l’habileté d’une tendre préface
Des caresses qui d’abord effleurent ma surface
Prépareraient mon corps à l’extrême chaleur
Je vous prie ma très chère de ne pas discourir
De n‘analyser point ma montée du désir
Veuillez aimablement considérer mon âge
Je n’ai plus de jadis la durable vigueur
Qui permettait de rendre abondance d’hommages
Profitons de l’instant avant que feu ne meure.
Muse le savez vous je vois votre derrière
Les dentelles parfois dévoilent sans pudeur
Des choses que Vénus peut exposer sans peur
Ces deux rotondités à subtile frontière
Seriez vous provocante à la limite fière
De me montrer ce dôme provoquant ma stupeur
Et si vous vous tourniez aurais-je le bonheur
De voir par transparence une jolie clairière
Le diable ou bien Éros se faisant captivant
De l’exquise façade dévoile le devant
Et l’ombre du velours ensorcelle ma vue
Ne vous étonnez point si naturellement
Se manifeste en moi une audace imprévue
Et si je me déforme inévitablement.
Poète je vois que cette soudaine ardeur
Me montre qu’à votre âge le désir est vivace
Vous avez le regard impudique et tenace
Aimant la transparence exaltant ma douceur
Auriez vous une envie conduisant au bonheur
Après l’habileté d’une tendre préface
Des caresses qui d’abord effleurent ma surface
Prépareraient mon corps à l’extrême chaleur
Je vous prie ma très chère de ne pas discourir
De n‘analyser point ma montée du désir
Veuillez aimablement considérer mon âge
Je n’ai plus de jadis la durable vigueur
Qui permettait de rendre abondance d’hommages
Profitons de l’instant avant que feu ne meure.