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Le mal de ses maux !
Je connais mon pire ennemi, il a mes traits
Je le vois dans le miroir de l’âme, il détruit
Tel l’océan, mes certitudes, sous des attraits
Flatteurs, il me met le doute et m’apporte l’ennui.
Je combats des idées noires, des pensées moroses
Qui minent, rongent depuis des années, mon esprit
A quoi sert de croire si l’espoir est mis en cause
Par des images négatives troublant mes nuits.
La face sombre de mon être me porte préjudice
Il faut réagir, éliminer ces états
De défaite comment réussir et faire justice
Tuer ce mal, ne pas vivre en renégat.
De regards attristés en visages contristés
Et puis de bonheur perdu en malheur venu
Je fuis mon destin comme un pauvre hère affolé
Un soleil noir me hante mais il reste inconnu.
J'ai la folie dans l'esprit, un obscur délire
Qui me transforme chaque jour en proie torturée
Au fil du temps, la vie coule sans aucun plaisir
L'alcool me joue des tours et j'en suis tout troublé.
La mort est ma maîtresse dans ses bras qui m'enlacent
Je connais les cauchemars de la nuit, au seuil
De l'oubli, noyant mes rêves de gloire, elle est lasse
De me voir ici bas et veut porter le deuil.
J'ai tout le corps qui crie vengeance, l'heure de la mort
De la mise à mort arrive à grands pas, ma vie
Est suspendue au fil de l'oubli, ô triste sort
Que de mourir sans passé, de n'être point compris.
Vingt ans déjà, vingt ans de lointains souvenirs
Perdus à jamais dans le silence de mon cœur
Je t'ai aimé, fou d'un amour qui a fait souffrir
Un bonheur que je croyais pour toujours sans pleurs.
Tu es partie, je suis resté seul, triste, aigri
La grande faucheuse va emporter mon âme ce soir
Mourir, je vais mourir, la belle affaire, ma vie
A été douce et amère mais qui peut le croire !
Je suis seul, tout est noir, dans mon cœur, dans ma vie
Il ne reste que le néant, je suis mort ce soir
J’ai perdu la raison de croire et je supplie
L’Eternel d’abréger mon cruel désespoir !
Je pleure, mon âme est en proie à de grands tourments
De ce corps exhale les larmes et les pires douleurs
Du passé, une plaie béante ouverte aux sentiments
Les plus affreux d’avoir subi tant de malheur !
J’ai le feu dans l’esprit, un volcan de terreur
Embrase mes pensées, j’ai peur, cette peur de souffrir
Cette angoisse de ne plus connaître le bonheur
De ne plus aimer, être aimé, plus d’avenir !
Adieu la vie, je vais mourir, mourir demain
Ne pleurez point amis, la mort n'est pas la fin
Je vais vous quitter, vous que j'ai toujours aimé
J'emporterai avec moi votre amitié.
Non ! Je ne peux accepter ce destin fatal
J'ai encore de la vie dans le corps, pas un râle
Ne s'en échappe mais j'ai peur, peur de souffrir
Angoissé par un mal qui me fait tant frémir.
Pourquoi ! J'ai envie d'hurler mon désespoir
De crier si fort car je n'ai aucun espoir
Sauf si un miracle me sauve, Dieu le sauveur
Des âmes perdues me réserve-t-il un sort meilleur ?
Je connais mon pire ennemi, il a mes traits
Je le vois dans le miroir de l’âme, il détruit
Tel l’océan, mes certitudes, sous des attraits
Flatteurs, il me met le doute et m’apporte l’ennui.
Je combats des idées noires, des pensées moroses
Qui minent, rongent depuis des années, mon esprit
A quoi sert de croire si l’espoir est mis en cause
Par des images négatives troublant mes nuits.
La face sombre de mon être me porte préjudice
Il faut réagir, éliminer ces états
De défaite comment réussir et faire justice
Tuer ce mal, ne pas vivre en renégat.
De regards attristés en visages contristés
Et puis de bonheur perdu en malheur venu
Je fuis mon destin comme un pauvre hère affolé
Un soleil noir me hante mais il reste inconnu.
J'ai la folie dans l'esprit, un obscur délire
Qui me transforme chaque jour en proie torturée
Au fil du temps, la vie coule sans aucun plaisir
L'alcool me joue des tours et j'en suis tout troublé.
La mort est ma maîtresse dans ses bras qui m'enlacent
Je connais les cauchemars de la nuit, au seuil
De l'oubli, noyant mes rêves de gloire, elle est lasse
De me voir ici bas et veut porter le deuil.
J'ai tout le corps qui crie vengeance, l'heure de la mort
De la mise à mort arrive à grands pas, ma vie
Est suspendue au fil de l'oubli, ô triste sort
Que de mourir sans passé, de n'être point compris.
Vingt ans déjà, vingt ans de lointains souvenirs
Perdus à jamais dans le silence de mon cœur
Je t'ai aimé, fou d'un amour qui a fait souffrir
Un bonheur que je croyais pour toujours sans pleurs.
Tu es partie, je suis resté seul, triste, aigri
La grande faucheuse va emporter mon âme ce soir
Mourir, je vais mourir, la belle affaire, ma vie
A été douce et amère mais qui peut le croire !
Je suis seul, tout est noir, dans mon cœur, dans ma vie
Il ne reste que le néant, je suis mort ce soir
J’ai perdu la raison de croire et je supplie
L’Eternel d’abréger mon cruel désespoir !
Je pleure, mon âme est en proie à de grands tourments
De ce corps exhale les larmes et les pires douleurs
Du passé, une plaie béante ouverte aux sentiments
Les plus affreux d’avoir subi tant de malheur !
J’ai le feu dans l’esprit, un volcan de terreur
Embrase mes pensées, j’ai peur, cette peur de souffrir
Cette angoisse de ne plus connaître le bonheur
De ne plus aimer, être aimé, plus d’avenir !
Adieu la vie, je vais mourir, mourir demain
Ne pleurez point amis, la mort n'est pas la fin
Je vais vous quitter, vous que j'ai toujours aimé
J'emporterai avec moi votre amitié.
Non ! Je ne peux accepter ce destin fatal
J'ai encore de la vie dans le corps, pas un râle
Ne s'en échappe mais j'ai peur, peur de souffrir
Angoissé par un mal qui me fait tant frémir.
Pourquoi ! J'ai envie d'hurler mon désespoir
De crier si fort car je n'ai aucun espoir
Sauf si un miracle me sauve, Dieu le sauveur
Des âmes perdues me réserve-t-il un sort meilleur ?