Hors ligne
La nuit était chaude en ce début d’été,
Et, c’est par la fenêtre éclairée,
Qu’il s’est introduit
Sans invitation, il s’est glissé
Évitant le moindre bruit
Pour ne pas se faire remarquer
Il s’est collé sous la table de nuit,
Décidant d’attendre pour attaquer
Le moindre recoin de son corps dévoilé
À la bonne heure, vers minuit.
Elle est là, inanimée sur le lit en déshabillé,
Essayant en vain d’atteindre les bras de Morphée,
Et, lui, passe à l’attaque, se jetant sur cette ennemie,
À qui, il a décidé de blesser
Les bras, les jambes, le cou, tout y est soumis
Elle se gratte, laissant le sang gicler.
Toute la nuit, ce n’est que piqué vertigineux
Et, au matin, elle découvre sur le lit,
Les traces de son amoureux
Elle n’a qu’un but : l’attraper
Et, lui faire subir le même sort : le gonfler
Car grâce à lui, ressort son allergie.
IRIS 1950
Et, c’est par la fenêtre éclairée,
Qu’il s’est introduit
Sans invitation, il s’est glissé
Évitant le moindre bruit
Pour ne pas se faire remarquer
Il s’est collé sous la table de nuit,
Décidant d’attendre pour attaquer
Le moindre recoin de son corps dévoilé
À la bonne heure, vers minuit.
Elle est là, inanimée sur le lit en déshabillé,
Essayant en vain d’atteindre les bras de Morphée,
Et, lui, passe à l’attaque, se jetant sur cette ennemie,
À qui, il a décidé de blesser
Les bras, les jambes, le cou, tout y est soumis
Elle se gratte, laissant le sang gicler.
Toute la nuit, ce n’est que piqué vertigineux
Et, au matin, elle découvre sur le lit,
Les traces de son amoureux
Elle n’a qu’un but : l’attraper
Et, lui faire subir le même sort : le gonfler
Car grâce à lui, ressort son allergie.
IRIS 1950