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Le Pouvoir de l’incompétence vidant la bourse de la France
Un vol de mégalos se voulant national
Espérant sur l’état engraisser sa bedaine
Partit pour l’assemblée cette niche certaine
Où l’on peut en hurlant se faire un capital.
Prétendant édifier un état idéal
Ils firent des partis opposés par la haine
Prirent des décisions inutiles ou malsaines
Le pays s’enlisa en un bourbier fatal
Le peuple intoxiqué de discours politiques
Étant embobiné de phrases stratégiques
Comprit mais un peu tard qu’il serait dévoré
Par des vantards verbeux gonflant leurs escarcelles
Dont les sottes promesses resteraient ignorées
Qu’il fallait moins d’élus mais bien plus de cervelle!
Le temps en s’écoulant devint cause du mal
La gestion des richesses fut par trop incertaine
Un excès de partis était chose malsaine
Et la division fut un mal national
Ne plus savoir compter fut le défaut fatal
Et l’état mal géré perdit son bas de laine
Il fallut emprunter sans que bourse fut pleine
La dette atteignit vite un poids phénoménal
On expliqua aux gens le mal économique
Disant que leurs impôts deviendraient boulimiques
Qu’il faudrait à la France un blason redoré
Que l’impôt s’équipant d’une plus grande pelle
Le trou dans les finances serait vite minoré
En ayant siphonné toutes les escarcelles.
Un vol de mégalos se voulant national
Espérant sur l’état engraisser sa bedaine
Partit pour l’assemblée cette niche certaine
Où l’on peut en hurlant se faire un capital.
Prétendant édifier un état idéal
Ils firent des partis opposés par la haine
Prirent des décisions inutiles ou malsaines
Le pays s’enlisa en un bourbier fatal
Le peuple intoxiqué de discours politiques
Étant embobiné de phrases stratégiques
Comprit mais un peu tard qu’il serait dévoré
Par des vantards verbeux gonflant leurs escarcelles
Dont les sottes promesses resteraient ignorées
Qu’il fallait moins d’élus mais bien plus de cervelle!
Le temps en s’écoulant devint cause du mal
La gestion des richesses fut par trop incertaine
Un excès de partis était chose malsaine
Et la division fut un mal national
Ne plus savoir compter fut le défaut fatal
Et l’état mal géré perdit son bas de laine
Il fallut emprunter sans que bourse fut pleine
La dette atteignit vite un poids phénoménal
On expliqua aux gens le mal économique
Disant que leurs impôts deviendraient boulimiques
Qu’il faudrait à la France un blason redoré
Que l’impôt s’équipant d’une plus grande pelle
Le trou dans les finances serait vite minoré
En ayant siphonné toutes les escarcelles.