- Inscrit
- 20 Août 2018
- Messages
- 1,924
- J'aime
- 2,165
- Points
- 123
- Je suis
- Un homme
Hors ligne
Un jour de soleil fou
Un shaman rencontra un sorcier
Surpris par la même dégaine de sioux
Il l’invita à sa table
Dis-moi shaman, quel sont donc tes facultés?
Je sait lire l’avenir de la cruauté
Je peux interférer surs ses ondes
Et je fait disparaître les mauvaises ombres
Mais toi sorcier, quels sont tes aptitudes?
Je dompte le venin du serpent caché au fond du sang
Je lance des larmes de bontés pour les âmes perdues
Et je fais de la nature mon unique bienfait
Alors, dis le shaman, nous progressons sur le même champ de ruines
Oui, surement, répondit le sorcier, la misère des hommes
Ceux-là qui ne savent pas vraiment aimer
Et lance à qui veut l’entendre « mon tendre »
Je me méfis, dit le chaman de tout ces mots affables
Les os du chien que j’ai lancé n’en conclue pas de plus belle
Et moi, répond le sorcier, ma poudre constitué semble bien faible
On dirait que certaines personnes veulent toujours être aimé
C’est un vice certain, on le nomme vanité
Moi qui suis sur le chemin, je la croise souvent
Elle prend son corps dans les mots tendres, semblant
Être un appel pour un cœur fragile de pitié
Dis moi sorcier, as tu le pouvoir de changer cet être moribond
Je ne le crois pas, il est bien trop abscons
Mais de mon âme est né un être au sacrifice
Alors je veux bien lutter contre ce maléfice
Merci sorcier, en échange que voudrais-tu de moi?
La paix posée sur un banc, sur le cul
Ne plus jazzer sans raison à moitié nu
Me reposer sur le banc, comme un roi
Un shaman rencontra un sorcier
Surpris par la même dégaine de sioux
Il l’invita à sa table
Dis-moi shaman, quel sont donc tes facultés?
Je sait lire l’avenir de la cruauté
Je peux interférer surs ses ondes
Et je fait disparaître les mauvaises ombres
Mais toi sorcier, quels sont tes aptitudes?
Je dompte le venin du serpent caché au fond du sang
Je lance des larmes de bontés pour les âmes perdues
Et je fais de la nature mon unique bienfait
Alors, dis le shaman, nous progressons sur le même champ de ruines
Oui, surement, répondit le sorcier, la misère des hommes
Ceux-là qui ne savent pas vraiment aimer
Et lance à qui veut l’entendre « mon tendre »
Je me méfis, dit le chaman de tout ces mots affables
Les os du chien que j’ai lancé n’en conclue pas de plus belle
Et moi, répond le sorcier, ma poudre constitué semble bien faible
On dirait que certaines personnes veulent toujours être aimé
C’est un vice certain, on le nomme vanité
Moi qui suis sur le chemin, je la croise souvent
Elle prend son corps dans les mots tendres, semblant
Être un appel pour un cœur fragile de pitié
Dis moi sorcier, as tu le pouvoir de changer cet être moribond
Je ne le crois pas, il est bien trop abscons
Mais de mon âme est né un être au sacrifice
Alors je veux bien lutter contre ce maléfice
Merci sorcier, en échange que voudrais-tu de moi?
La paix posée sur un banc, sur le cul
Ne plus jazzer sans raison à moitié nu
Me reposer sur le banc, comme un roi