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Le Vieillard fort nanti et ses milliarophores
Un presque octogénaire signait
Passe encore de signer mais promettre à cet âge
Disait le peuple ému par son beau verbiage
Peut être bien qu’il galéjait
Par quel oracle je vous prie
Que faut-il penser recueillir
Des quatre ans qu’il a pour vieillir
Si le destin lui prête vie.
Des soins d'un avenir qui semble sans mesure
Saura-t-il arranger les erreurs du passées :
Aux promesses issues de ses vastes pensées ; Verrons nous prospérer sa courte mandature
Rendre fructueux un carême
Nécessite un excès de temps
Car les riches jamais ne sèment
En terrain pauvre leur argent.
Gouverner ses pareils pour une courte durée.
En faisant miroiter une voûte azurée
Est tache délicate et à aucun moment
Nul ne peut assurer de tous contentement
Les arbres les plus hauts ont toujours un ombrage :
Les excès de promesses laissent septique le sage
Ceux ne pouvant donner le bonheur à autrui Devraient bien modérer les serments d’aujourd’hui.
Peut-on jouir demain, et quelques jours encore
De ces matins vantant une agréable aurore
Beaucoup de prometteurs sont allés au tombeau.
En n’ayant soulagé personne de ses maux.
Ainsi l’incertitude règne sur l’Amérique .
La richesse menant aux grandes dignités,
Dans les besoins utiles aux malaises publiques
Saura réduire ou non les inégalités
Voila donc un destin encore au pieds d’un arbre
Il va falloir agir et non point se vanter
Réussir ce serait graver en quelque marbre
Des discours que certains aiment trop raconter.
Ainsi la politique par le biais des promesses
Incite l’électeur à devenir crédule
Quelque soit le pays par sottise ou paresse
Les fallacieux discours ont toujours des émules.
Un presque octogénaire signait
Passe encore de signer mais promettre à cet âge
Disait le peuple ému par son beau verbiage
Peut être bien qu’il galéjait
Par quel oracle je vous prie
Que faut-il penser recueillir
Des quatre ans qu’il a pour vieillir
Si le destin lui prête vie.
Des soins d'un avenir qui semble sans mesure
Saura-t-il arranger les erreurs du passées :
Aux promesses issues de ses vastes pensées ; Verrons nous prospérer sa courte mandature
Rendre fructueux un carême
Nécessite un excès de temps
Car les riches jamais ne sèment
En terrain pauvre leur argent.
Gouverner ses pareils pour une courte durée.
En faisant miroiter une voûte azurée
Est tache délicate et à aucun moment
Nul ne peut assurer de tous contentement
Les arbres les plus hauts ont toujours un ombrage :
Les excès de promesses laissent septique le sage
Ceux ne pouvant donner le bonheur à autrui Devraient bien modérer les serments d’aujourd’hui.
Peut-on jouir demain, et quelques jours encore
De ces matins vantant une agréable aurore
Beaucoup de prometteurs sont allés au tombeau.
En n’ayant soulagé personne de ses maux.
Ainsi l’incertitude règne sur l’Amérique .
La richesse menant aux grandes dignités,
Dans les besoins utiles aux malaises publiques
Saura réduire ou non les inégalités
Voila donc un destin encore au pieds d’un arbre
Il va falloir agir et non point se vanter
Réussir ce serait graver en quelque marbre
Des discours que certains aiment trop raconter.
Ainsi la politique par le biais des promesses
Incite l’électeur à devenir crédule
Quelque soit le pays par sottise ou paresse
Les fallacieux discours ont toujours des émules.