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Les fêlures sont discrètes
Enfouies au cœur du cœur
Ce soir ce n’est pas sa fête
Et l’enfant meurt de peur
Drôle de piste macabre
Raclant la douce et la brute
Incolore, sans joie, sans arbre
Un démon, cerbère, Belzébuth
Dans la nuit noire, il voit bleu ;
Comme ses lèvres et sa vestes
Comme le contour des yeux
De sa maman aux gestes lestes.
Ses pensées sont brumeuses
Pleine d’effluves enragés
Oh non pas peureuses ;
Plus maintenant, plus jamais !
L’enfant ne pense pas grand ;
Que déjà dans le salon,
Il perçut sa maman
Comme l’hiver sous un pont…
Elle gémit en chantant
Au rythme des coups de poing
De son conjoint perforant
Son corps avec entrain
Son père, vautour clabaudeur
Aux yeux rouges titanesques,
Frappe quelque soit l’heure
Et fait des murs, des fresques ;
Aux couleurs vermeilles..
Sa maman est partie ;
L’enfant n’a plus sommeil
Son cœur gros en pâtit
Les fêlures sont discrètes
Enfouies au cœur du cœur
Ce soir ce n’est pas sa fête
Mais l’enfant n’a plus peur
Enfouies au cœur du cœur
Ce soir ce n’est pas sa fête
Et l’enfant meurt de peur
Drôle de piste macabre
Raclant la douce et la brute
Incolore, sans joie, sans arbre
Un démon, cerbère, Belzébuth
Dans la nuit noire, il voit bleu ;
Comme ses lèvres et sa vestes
Comme le contour des yeux
De sa maman aux gestes lestes.
Ses pensées sont brumeuses
Pleine d’effluves enragés
Oh non pas peureuses ;
Plus maintenant, plus jamais !
L’enfant ne pense pas grand ;
Que déjà dans le salon,
Il perçut sa maman
Comme l’hiver sous un pont…
Elle gémit en chantant
Au rythme des coups de poing
De son conjoint perforant
Son corps avec entrain
Son père, vautour clabaudeur
Aux yeux rouges titanesques,
Frappe quelque soit l’heure
Et fait des murs, des fresques ;
Aux couleurs vermeilles..
Sa maman est partie ;
L’enfant n’a plus sommeil
Son cœur gros en pâtit
Les fêlures sont discrètes
Enfouies au cœur du cœur
Ce soir ce n’est pas sa fête
Mais l’enfant n’a plus peur
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