• Forum de Poésie. Postez vos poèmes, vos commentaires...
    Bienvenue à tous les poètes ! Forum de poésie, où tout le monde peut poster ses poèmes, mettre son avis sur les poèmes des autres et participer aux discussions !

Poème Les amants

Moïse Wolff

Modérateur
Membre du personnel
Inscrit
29 Octobre 2018
Messages
9,109
J'aime
16,215
Points
450
Je suis
Un homme
Hors ligne
#1


L’onde lisse de l'étang
sous la brise frémissait.
Sur la rive, deux amants
aux pieds nus déambulaient.


Ils n’avaient pas fait dix pas
que déjà ils s’enlaçaient,
sur l’onde les nymphéas
par leurs baisers fleurissaient.


L’étang avait leur parfum
que la brise soulevait.
Ils marchaient main dans la main,
la harpe du vent vibrait.


Les amants se promenaient
en chuchotant des promesses.
Dans leur corps, les coeurs cognaient
à la douceur des caresses.


Ce n’est qu’au crépuscule
aux trilles de l’oiseau merle,
que l’homme ôta sa fibule
sous la lune intemporelle.


Moïse
réédition
4 nov 2018
texte protégé



 
Dernière édition:

D.Isabelle

Maître poète
Inscrit
6 Septembre 2018
Messages
6,332
J'aime
10,678
Points
183
Localité
France
Je suis
Une femme
Hors ligne
#2


L’onde lisse d'un étang
sous la brise frémissait.
Sur la rive, deux amants
aux pieds nus déambulaient.


Ils n’avaient pas fait dix pas
que déjà ils s’enlaçaient,
sur l’onde les nymphéas
par leurs baisers fleurissaient.


L’étang avait leur parfum
que la brise soulevait.
Ils marchaient main dans la main,
la harpe du vent vibrait.


Les amants se promenaient
en chuchotant des promesses.
Dans leur corps, les coeurs cognaient
à la douceur des caresses.


Ce n’est qu’au crépuscule
aux trilles de l’oiseau merle,
que l’homme ôta sa fibule
sous la lune intemporelle.


Moïse
réédition
4 nov 2018
texte protégé




Bonsoir Moïse,
Un peu de douceur pour finir la journée, ça fait du bien _ Merci de ce beau partage
Bien amicalement
Isabelle
26679-f65d35eb38b5b4ec28ffa36b437114de.jpg
 
Inscrit
3 Novembre 2020
Messages
2,001
J'aime
3,019
Points
173
Localité
Auriol
Je suis
Un homme
En ligne
#3


L’onde lisse de l'étang
sous la brise frémissait.
Sur la rive, deux amants
aux pieds nus déambulaient.


Ils n’avaient pas fait dix pas
que déjà ils s’enlaçaient,
sur l’onde les nymphéas
par leurs baisers fleurissaient.


L’étang avait leur parfum
que la brise soulevait.
Ils marchaient main dans la main,
la harpe du vent vibrait.


Les amants se promenaient
en chuchotant des promesses.
Dans leur corps, les coeurs cognaient
à la douceur des caresses.


Ce n’est qu’au crépuscule
aux trilles de l’oiseau merle,
que l’homme ôta sa fibule
sous la lune intemporelle.


Moïse
réédition
4 nov 2018
texte protégé



J'ai aimé ma lecture ... le partage on aime ça dans Jepoèmes...Merci Moïse... JC...
 
Haut