Hors ligne
Les fleurs éclosent dès ton réveil
Les chaloupes des oiseaux tanguent
sur les cimes des ciels d’azur,
les larmes de rosée scintillent
dessous les stèles du zénith,
tandis qu’au loin
paissent les dais des nuages,
les fleurs éclosent
à l’aube dès ton réveil.
Ma Muse, ma Bien-Aimée, ma Fée,
Toi qui sais les salves des étoiles,
écoute les jardins nomades qui respirent
à l’infini en la source de notre Amour.
Laisse-moi te psalmodier
l’hymne de ta douceur,
sois
la vigie de mon harmonie,
comble-moi
des rayons de délicatesse de ton visage,
le Soleil se signe à ton apparition,
les chemins grimpent
vers les bourgs des bocages,
vers les rives de ta Lumière.
J’étreins à paumes nues
le galet du bonheur,
l’océan de ta peau m’ensorcelle,
et m’entraîne, vague après vague,
au-delà
de la poésie saphique de ta Grâce.
Retournons
dans le châle de notre clairière,
et face à l’occident,
resplendis en moi !
Sophie Rivière
Les chaloupes des oiseaux tanguent
sur les cimes des ciels d’azur,
les larmes de rosée scintillent
dessous les stèles du zénith,
tandis qu’au loin
paissent les dais des nuages,
les fleurs éclosent
à l’aube dès ton réveil.
Ma Muse, ma Bien-Aimée, ma Fée,
Toi qui sais les salves des étoiles,
écoute les jardins nomades qui respirent
à l’infini en la source de notre Amour.
Laisse-moi te psalmodier
l’hymne de ta douceur,
sois
la vigie de mon harmonie,
comble-moi
des rayons de délicatesse de ton visage,
le Soleil se signe à ton apparition,
les chemins grimpent
vers les bourgs des bocages,
vers les rives de ta Lumière.
J’étreins à paumes nues
le galet du bonheur,
l’océan de ta peau m’ensorcelle,
et m’entraîne, vague après vague,
au-delà
de la poésie saphique de ta Grâce.
Retournons
dans le châle de notre clairière,
et face à l’occident,
resplendis en moi !
Sophie Rivière