Poème Les larmes de la plume

Pixabay

Mon âme saigne et mon cœur pleure/
De voir de partout tant de malheur/
Ne serait-il pas enfin l’heure/
Que l’humain cultive le bonheur/
Au lieu de jouir avec perversion de la haine/
Dans la vase puante de la folie qui se déchaîne/
Faisant de la faucheuse une cruelle souveraine/
Rendant les beautés de la terre et, de la vie vaines/
Détruisant le futur du moindre soupçon/
Espoirs/
Dans les yeux des enfants plongés dans les noirs/
Essuyant larmes et, sang de leurs mouchoirs/
Se demandant ce qu’ils font au milieu de ces histoires/

Lire la suite sur ce lien : Les larmes de la plume


Jamais reconnue,
Je signe ce qui suit de mon nom de plume !
Phane
Amitiés à vous fidèles lecteurs qui m’accompagnez dans mes déambulations intérieures.

Mon bonsoir aux amis !

C'est un poème écrit d'une plume d'ange

toute cette tristesse, tous ces désespoirs sont si bien écrit et décris, notre coeur nous fait mal en les lisant!
amitié Stéphane
Emie

C'est un poème écrit d'une plume d'ange

Ce cri du coeur t'honore.
Et ta plume déplore à juste titre toute cette haine, cette méchanceté gratuite qui fait verser des larmes de sang. Très bel écrit ! Bravo

Amicalement

Idem avec ECNI, et je rajoute que tu écris merveilleusement bien et je t'encourage de continuer, un poème fort.... MERCI du partage cher poète


Bonne soirée
Amicalement
Personne

Ceci est donc la couleur de mon recueil de poésie que j'ai l'honneur de te donner le titre : "Les larmes de la plume"
Dans lequel je dépose mes larmes,
Je n'ai pas d'armes,
Juste une âme
Qui s'enflamme !

Merci beaucoup !
Amitiés
Stéphane

je te découvre

et je constate que tes vers sont parfaitement poétisés

plaisir des mirettes

merci du PARTAGE



RP

Vu, lu et apprécié ! et même commenté Merci de ce partage, Phane !

Pixabay

Mon âme saigne et mon cœur pleure/
De voir de partout tant de malheur/
Ne serait-il pas enfin l’heure/
Que l’humain cultive le bonheur/
Au lieu de jouir avec perversion de la haine/
Dans la vase puante de la folie qui se déchaîne/
Faisant de la faucheuse une cruelle souveraine/
Rendant les beautés de la terre et, de la vie vaines/
Détruisant le futur du moindre soupçon/
Espoirs/
Dans les yeux des enfants plongés dans les noirs/
Essuyant larmes et, sang de leurs mouchoirs/
Se demandant ce qu’ils font au milieu de ces histoires/




Jamais reconnue,
Je signe ce qui suit de mon nom de plume !
Phane
Amitiés à vous fidèles lecteurs qui m’accompagnez dans mes déambulations intérieures.

Mon bonsoir aux amis !