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Les murmures du silence ;
Dans le néant je ne distingue personne
Aucun son ne s’entend
Aucun murmure ne se comprend
Juste le silence qui détonne
Les regards se cherchent sans se croiser
La lumière s’efface devant le sombre
Crainte et méfiance s’expriment dans l’ombre
Les ressentis s’humilient sans se toiser
La hantise du souffle qui s’estampe
Etouffé par l’amertume de l’inconstant
Agité dans l’incompréhension du mutant
Tout est brume, le soleil se trempe
Expression du visage de l’indifférence
Le rictus moqué par son propre sourire
Des sous entendus proférés et à proscrire
Les yeux trahissent, son regard est carence
Le temps fait aussi son propre caprice
Dévolu à son horloge
Aucune seconde ne déroge
Pour l’été, La Cigale est la cantatrice
Que d’évidences
Que de réticences
Que d’impatiences
Accroché aux murmures du silence.
Rachid
Alger, le 06/08/2022
Dans le néant je ne distingue personne
Aucun son ne s’entend
Aucun murmure ne se comprend
Juste le silence qui détonne
Les regards se cherchent sans se croiser
La lumière s’efface devant le sombre
Crainte et méfiance s’expriment dans l’ombre
Les ressentis s’humilient sans se toiser
La hantise du souffle qui s’estampe
Etouffé par l’amertume de l’inconstant
Agité dans l’incompréhension du mutant
Tout est brume, le soleil se trempe
Expression du visage de l’indifférence
Le rictus moqué par son propre sourire
Des sous entendus proférés et à proscrire
Les yeux trahissent, son regard est carence
Le temps fait aussi son propre caprice
Dévolu à son horloge
Aucune seconde ne déroge
Pour l’été, La Cigale est la cantatrice
Que d’évidences
Que de réticences
Que d’impatiences
Accroché aux murmures du silence.
Rachid
Alger, le 06/08/2022