- Inscrit
- 22 Mars 2020
- Messages
- 8
- J'aime
- 13
- Points
- 53
- Je suis
- Un homme
Hors ligne
Comme l’eau était si claire, en ces temps reculés,
Dans cet havre de paix, au reflet de miroir,
Où la faune et la flore, venaient s’y abreuver,
Dans la douceur de l’aube, ou la fraîcheur d’un soir.
Combien d’amours naissants, un jour s’y sont baignés,
De doigts entrelacés, au rythme des clapotis,
Dans leurs songes immergés, tant de mots chuchotés,
Témoins d’un bel été, au parfum d’interdit.
Aux frissons du printemps, sa surface se teintait,
Des espoirs du présent, au bleu d’un ciel d’azur,
Puis soudain s’y noyait, l’orage d’une pluie d’été,
Annonçant de funestes, atteintes à la nature.
Qu’il est loin ce passé, otage de nos excès,
De cette suffisance, ce temps qui va mourir,
Témoin triste d’un âge, à jamais oublié,
Où l’eau était si claire, dans l’étang des souvenirs.
Dans cet havre de paix, au reflet de miroir,
Où la faune et la flore, venaient s’y abreuver,
Dans la douceur de l’aube, ou la fraîcheur d’un soir.
Combien d’amours naissants, un jour s’y sont baignés,
De doigts entrelacés, au rythme des clapotis,
Dans leurs songes immergés, tant de mots chuchotés,
Témoins d’un bel été, au parfum d’interdit.
Aux frissons du printemps, sa surface se teintait,
Des espoirs du présent, au bleu d’un ciel d’azur,
Puis soudain s’y noyait, l’orage d’une pluie d’été,
Annonçant de funestes, atteintes à la nature.
Qu’il est loin ce passé, otage de nos excès,
De cette suffisance, ce temps qui va mourir,
Témoin triste d’un âge, à jamais oublié,
Où l’eau était si claire, dans l’étang des souvenirs.