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Lettre à Élise
Je vous l’avoue Élise il me fut très plaisant
D’admirer vos secrets qu’Éole révélait
J’appréciais la bise exposant vos attraits
Et j’eus dès ce jour là des rêves incessants.
Je m’efforçais alors de me montrer galant
Pour voir si ma jeunesse à vos regards plaisait
Par manque de savoir j’étais un peu distrait
D’apprendre je subis l’initiatique élan.
Savoir sans pratiquer n’étant que provisoire
Vous sûtes convertir mes quelques connaissances
En jeux émerveillant ma critique ignorance
Quittant l’abstraction au réel je pus croire
Votre aide m’enseigna l’art du plaisant devoir
Pour me bien comporter en chaque circonstance
Je restai attentif à votre bienveillance
Vous sûtes exploiter mes modestes pouvoirs.
Hélas votre époux dut cesser ses voyages
Élise vos leçons me manquèrent souvent
Et bien que grâce à vous je sois bien plus savant
Je pus moins accéder au sensuel partage.
Le destin est un ciel où passent des nuages
Et je fus incité pour d'autres d’être l’amant
D’aller quérir ailleurs de plaisants compléments
À vos enseignements sur l’art du doux partage.
Il me reste ma chère à dire grand merci
À votre dévouement forgeant mes aptitudes
Votre subtilité respecta mes études
Et dompta mes désirs sans le moindre souci.
Bien sur les jeux du corps se trouvant éclaircis
Je sus mieux m’adapter aux différents préludes
De maîtresse je n’eus aucune multitude
Restant à nos plaisirs longuement asservi.
Je vous l’avoue Élise il me fut très plaisant
D’admirer vos secrets qu’Éole révélait
J’appréciais la bise exposant vos attraits
Et j’eus dès ce jour là des rêves incessants.
Je m’efforçais alors de me montrer galant
Pour voir si ma jeunesse à vos regards plaisait
Par manque de savoir j’étais un peu distrait
D’apprendre je subis l’initiatique élan.
Savoir sans pratiquer n’étant que provisoire
Vous sûtes convertir mes quelques connaissances
En jeux émerveillant ma critique ignorance
Quittant l’abstraction au réel je pus croire
Votre aide m’enseigna l’art du plaisant devoir
Pour me bien comporter en chaque circonstance
Je restai attentif à votre bienveillance
Vous sûtes exploiter mes modestes pouvoirs.
Hélas votre époux dut cesser ses voyages
Élise vos leçons me manquèrent souvent
Et bien que grâce à vous je sois bien plus savant
Je pus moins accéder au sensuel partage.
Le destin est un ciel où passent des nuages
Et je fus incité pour d'autres d’être l’amant
D’aller quérir ailleurs de plaisants compléments
À vos enseignements sur l’art du doux partage.
Il me reste ma chère à dire grand merci
À votre dévouement forgeant mes aptitudes
Votre subtilité respecta mes études
Et dompta mes désirs sans le moindre souci.
Bien sur les jeux du corps se trouvant éclaircis
Je sus mieux m’adapter aux différents préludes
De maîtresse je n’eus aucune multitude
Restant à nos plaisirs longuement asservi.