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Lettre d’amour à toi ma Femme,
Mon épouse depuis longtemps
Qui sut saisir mon corps mon âme,
Que j’aime indissolublement.
Mon épouse depuis longtemps
Qui sut saisir mon corps mon âme,
Que j’aime indissolublement.
Rien n’a changé, ma Femme, il me faut te l’écrire
Tes yeux m’ont fasciné et tout de toi m’attire
Je croyais mon cœur lent, lors il bat la chamade,
À ton charme si fort il n’est nulle parade.
Il y a bien des ans et amoureux déjà
Ton tendre envoûtement sur mes yeux s’exerça,
Mon trouble persistant, ton image sans trêve
Devint un océan se brisant sur ma grève.
Chaque jour de ma vie tu restes ma lumière
J’ai l’esprit dépendant mais l’âme buissonnière
Tu fis mon ciel si beau qu’il n’est fait que d’azur
Tu fus tout mon passé tu restes mon futur.
L’étincelle alluma, sublime, un brasier
D’un sentiment profond au pouvoir sorcier.
J’aurai volé du monde les roses, les jasmins,
Pour un merci au ciel de mêler nos destins.
Un jour, je t’ai souri te faisant percevoir
Que j’avais dans le cœur un incroyable espoir
Et ton tendre regard m’offrit la récompense
De ne manifester aucune indifférence.
Je te revis, osant des mots sans importance
Bien qu’avouant déjà une tendre ascendance ;
À mes regards tes yeux renvoyaient des splendeurs
Il t’était délicat d’ignorer mes ardeurs.
Puis je frôlai ta bouche, un jour, en te quittant
Lèvres émerveillées et le cœur s’affolant.
Je te revis encore et le bonheur croissait
Découvrant un désir que le temps n’apaisait
Les délices précises de ton être si doux,
Le parfum des cheveux, et la soie de ton cou
Les courbes fascinantes d’une féminité
Furent les charmes secrets dont je fus envoûté.
J’essayai de ne pas monter trop d’arrogance
À détailler ton corps, ta taille qui balance,
Les fuseaux de tes jambes finis de pieds menus
Ton galbe tentateur et tes attraits charnus,
Ton tendre envoûtement sur mes yeux s’exerça,
Mon trouble persistant, ton image sans trêve
Devint un océan se brisant sur ma grève.
Chaque jour de ma vie tu restes ma lumière
J’ai l’esprit dépendant mais l’âme buissonnière
Tu fis mon ciel si beau qu’il n’est fait que d’azur
Tu fus tout mon passé tu restes mon futur.
L’étincelle alluma, sublime, un brasier
D’un sentiment profond au pouvoir sorcier.
J’aurai volé du monde les roses, les jasmins,
Pour un merci au ciel de mêler nos destins.
Un jour, je t’ai souri te faisant percevoir
Que j’avais dans le cœur un incroyable espoir
Et ton tendre regard m’offrit la récompense
De ne manifester aucune indifférence.
Je te revis, osant des mots sans importance
Bien qu’avouant déjà une tendre ascendance ;
À mes regards tes yeux renvoyaient des splendeurs
Il t’était délicat d’ignorer mes ardeurs.
Puis je frôlai ta bouche, un jour, en te quittant
Lèvres émerveillées et le cœur s’affolant.
Je te revis encore et le bonheur croissait
Découvrant un désir que le temps n’apaisait
Les délices précises de ton être si doux,
Le parfum des cheveux, et la soie de ton cou
Les courbes fascinantes d’une féminité
Furent les charmes secrets dont je fus envoûté.
J’essayai de ne pas monter trop d’arrogance
À détailler ton corps, ta taille qui balance,
Les fuseaux de tes jambes finis de pieds menus
Ton galbe tentateur et tes attraits charnus,
L’arc de tes épaules et le val séparant
Les jumelles beautés ces appas fascinants.
J’appris, en te parlant, ton esprit et tes goûts
Et mon amour grandit, en se faisant plus doux.
J’osai, à mots couverts, pour ne pas te choquer
Parler du sentiment que tu sus provoquer
J’eus par bonheur extrême une écoute attentive
J’ajoutai quelques phrases plus chaudes et plus vives ;
Je vis dans ton sourire une âme perméable
Aux tendres arguments d’une cour raisonnable.
J’osais des mots d’amour chastes sans équivoque
Mon inclination était-elle réciproque !
Il te fallait partir et j’eus lèvres pâmées
Le bonheur de sentir les tiennes parfumées.
Tu m’avais dit d’écrire éloignée trop de jours
Je pus par l’encrier disséquer mon amour ;
J’espérais attendant le délicat moment
Où délabyrinthant mon tendre sentiment
Tu oserais répondre en avouant aussi
Que mes bras te feraient un délicieux abri.
Ma plume me donnant l’audace nécessaire,
Je sus tout avouer en espérant te plaire,
Il germait en mon corps des désirs un peu fou,
Des baisers-colliers pour décorer ton cou,
Des gestes de douceur des bises sans pareilles
Effleurant les cheveux mordillant les oreilles
De très lentes errances de ma bouche gourmande
Couvrant de sa tiédeur tes lèvres en amande.
Tu l’avais bien voulu, ce fut notre désir,
J’allai où tes trésors aimèrent m’accueillir
En usant de douceurs insistantes et habiles
Éveillant ta beauté aux charnelles idylles.
Découvrant de l’amour l’infini diapason,
Je le fis résonner jusqu’à ma déraison,
Et l’exaltation de multiples douceurs
Adapta au désir le feu de mes ardeurs.
Mûrissent lentement le temps et sa brûlure,
Je reste ton époux : ta plus folle capture,
Célébrant tant d’années à l’autel du partage
Quand les corps à l’amour rendent le bel hommage,
Quand tendresse domine, se gravent en mémoire
Les souvenirs anciens de plaisirs et de gloire,
les envie d’échanger aux possessions totales
Les exultations des amours sans égales.
Aurais-je été trop loin ? Fallait-il te l’écrire ?
Il n’est pas un amour que la fougue n’inspire
Et par la déraison de tous ces vers, Chérie,
De l’amour Je ne montre qu’un peu de ma folie.
Dans la vie nous avons partagé des douleurs
Compensées par ton art de créer des bonheurs
Tu sèmes dans mon cœur une joie invincible
Je reste entre tes mains au charme immarcescible.
Les jumelles beautés ces appas fascinants.
J’appris, en te parlant, ton esprit et tes goûts
Et mon amour grandit, en se faisant plus doux.
J’osai, à mots couverts, pour ne pas te choquer
Parler du sentiment que tu sus provoquer
J’eus par bonheur extrême une écoute attentive
J’ajoutai quelques phrases plus chaudes et plus vives ;
Je vis dans ton sourire une âme perméable
Aux tendres arguments d’une cour raisonnable.
J’osais des mots d’amour chastes sans équivoque
Mon inclination était-elle réciproque !
Il te fallait partir et j’eus lèvres pâmées
Le bonheur de sentir les tiennes parfumées.
Tu m’avais dit d’écrire éloignée trop de jours
Je pus par l’encrier disséquer mon amour ;
J’espérais attendant le délicat moment
Où délabyrinthant mon tendre sentiment
Tu oserais répondre en avouant aussi
Que mes bras te feraient un délicieux abri.
Ma plume me donnant l’audace nécessaire,
Je sus tout avouer en espérant te plaire,
Il germait en mon corps des désirs un peu fou,
Des baisers-colliers pour décorer ton cou,
Des gestes de douceur des bises sans pareilles
Effleurant les cheveux mordillant les oreilles
De très lentes errances de ma bouche gourmande
Couvrant de sa tiédeur tes lèvres en amande.
Tu l’avais bien voulu, ce fut notre désir,
J’allai où tes trésors aimèrent m’accueillir
En usant de douceurs insistantes et habiles
Éveillant ta beauté aux charnelles idylles.
Découvrant de l’amour l’infini diapason,
Je le fis résonner jusqu’à ma déraison,
Et l’exaltation de multiples douceurs
Adapta au désir le feu de mes ardeurs.
Mûrissent lentement le temps et sa brûlure,
Je reste ton époux : ta plus folle capture,
Célébrant tant d’années à l’autel du partage
Quand les corps à l’amour rendent le bel hommage,
Quand tendresse domine, se gravent en mémoire
Les souvenirs anciens de plaisirs et de gloire,
les envie d’échanger aux possessions totales
Les exultations des amours sans égales.
Aurais-je été trop loin ? Fallait-il te l’écrire ?
Il n’est pas un amour que la fougue n’inspire
Et par la déraison de tous ces vers, Chérie,
De l’amour Je ne montre qu’un peu de ma folie.
Dans la vie nous avons partagé des douleurs
Compensées par ton art de créer des bonheurs
Tu sèmes dans mon cœur une joie invincible
Je reste entre tes mains au charme immarcescible.
Et même si les ans sont boulets aux chevilles
Mon désir quelque fois à chanter s’égosille
Les charnelles amours vieillissent évidemment
Mais ont quelques sursauts de doux enchantements.
Mon désir quelque fois à chanter s’égosille
Les charnelles amours vieillissent évidemment
Mais ont quelques sursauts de doux enchantements.
Car la suite des ans ne pourra rien y faire
Un désir qui se fait un jour sexagénaire
Est ancré si profond qu’à jamais il résiste
La tendresse est la clé de l’amour qui persiste.
Un désir qui se fait un jour sexagénaire
Est ancré si profond qu’à jamais il résiste
La tendresse est la clé de l’amour qui persiste.