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Ils augmentent les prix mais ils diminuent l’heure
Pour donner l’illusion qu’ils ont de la valeur
Nos hommes politiques sont souvent des vauriens
Se payant grassement en échange de rien!
En toute politique il faut quelque raison
Le bien-être des gens n’est pas une évidence
Mais la diversité que l’on découvre en France
Est de la société le terrible poison
Des partis l’on connaît les sottes oraisons
Qui ne résolvant rien n’ont que peu d’importance
Un objectif commun aurait bien plus de chance
D’apporter à nos maux la simple guérison.
Et s’il faut des moyens pour sauver nos finances
La couleur politique n’a que peu d’influence
Car fort habilement on trompe l’électeur.,
Si logique n’est pas des finances compteur
Qu’importe les critiques et leurs outrecuidances
Il faut hiérarchiser les utiles valeurs.
Sont ce les incapables émergeant des scrutins
Jugés au juste poids de ce qu’ils accomplirent
Savent-ils autre chose que crier et médire
En voulant de l’état obtenir un butin.
Un peu d’expérience est un besoin certain
Les intrigants souvent sont capables du pire
Et détruisant toujours sans jamais reconstruire
Ils ne sauraient gérer ni présent ni demain.
Que dire de la finance à l’étrange balance
Dans un pays où tout paye une redevance
Et où des vents malins poussent tout de travers
Se laisse diriger par quelques ponctionnaires
Ne saurait corriger les diverses errances
Retrouver l’équilibre devient prioritaire.
Certes certains devront plus donner à la quête
Mais il faudra choisir ceux n’en soufrant que peu
Ceux qui font de l’argent tout simplement un jeu
Et ceux dont les abus à la raison tient tête
Gérer ne doit pas être le fait de pipelettes
Le destin populaire est un devoir heureux
Mentir à tout propos fait les gens belliqueux
L’égalité devient la pire des sornettes
Sans suivre les marchands d’hypothétiques futurs
Il faudra observer ceux dont les mandatures
Se doivent de fournir des comptes acceptables
Donnons à l’expérience un préjugé aimable
Sans quitter du regard la neuve conjoncture
Qui rendrait le pays à nouveau gouvernable.
Pour donner l’illusion qu’ils ont de la valeur
Nos hommes politiques sont souvent des vauriens
Se payant grassement en échange de rien!
En toute politique il faut quelque raison
Le bien-être des gens n’est pas une évidence
Mais la diversité que l’on découvre en France
Est de la société le terrible poison
Des partis l’on connaît les sottes oraisons
Qui ne résolvant rien n’ont que peu d’importance
Un objectif commun aurait bien plus de chance
D’apporter à nos maux la simple guérison.
Et s’il faut des moyens pour sauver nos finances
La couleur politique n’a que peu d’influence
Car fort habilement on trompe l’électeur.,
Si logique n’est pas des finances compteur
Qu’importe les critiques et leurs outrecuidances
Il faut hiérarchiser les utiles valeurs.
Sont ce les incapables émergeant des scrutins
Jugés au juste poids de ce qu’ils accomplirent
Savent-ils autre chose que crier et médire
En voulant de l’état obtenir un butin.
Un peu d’expérience est un besoin certain
Les intrigants souvent sont capables du pire
Et détruisant toujours sans jamais reconstruire
Ils ne sauraient gérer ni présent ni demain.
Que dire de la finance à l’étrange balance
Dans un pays où tout paye une redevance
Et où des vents malins poussent tout de travers
Se laisse diriger par quelques ponctionnaires
Ne saurait corriger les diverses errances
Retrouver l’équilibre devient prioritaire.
Certes certains devront plus donner à la quête
Mais il faudra choisir ceux n’en soufrant que peu
Ceux qui font de l’argent tout simplement un jeu
Et ceux dont les abus à la raison tient tête
Gérer ne doit pas être le fait de pipelettes
Le destin populaire est un devoir heureux
Mentir à tout propos fait les gens belliqueux
L’égalité devient la pire des sornettes
Sans suivre les marchands d’hypothétiques futurs
Il faudra observer ceux dont les mandatures
Se doivent de fournir des comptes acceptables
Donnons à l’expérience un préjugé aimable
Sans quitter du regard la neuve conjoncture
Qui rendrait le pays à nouveau gouvernable.