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Lupus !
Hurle à la mort, mon ami, le loup solitaire
Car tu appelles ta meute à venir te chercher
Hélas les longues nuits sont tombées sur la Terre
Et tu es venu ici faire ton marché.
Tu parcours de longues distances sur la lande
Tu n’as qu’un but, te nourrir, en quête de proies
A chasser les rennes, sur les volcans d’Islande
Car il faut tuer, pour ne pas mourir de froid.
Tu donnes la mort, mais tu n’es qu’un animal
Comment t’en vouloir, toi, tu agis par instinct
Prétentieux humains, nous provoquons le mal
Notre sort est scellé, dans un même destin.
Quand la Lune est haute, on entend les pleurs du mâle
Il supplie l’astre d’or, à revoir sa femelle
Des plaintes d’amour, sous la brume fantomale
Où se trouve sa louve, son âme jumelle !
Et il parcourt éperdu, tout son territoire
Cherchant dans tous les sens, il se sent désarmé
Découvrant le corps sans vie, fini leur histoire
Avec un fusil, l’homme a tué son aimée !
Il s’enfuit le loup, en hurlant son désespoir
La forêt en a peur, maudit sois-tu humain
As-tu perdu ton cœur animal et mémoire ?
Tu es de chair et d’os, mais du sang sur les mains !
Hurle à la mort, mon ami, le loup solitaire
Car tu appelles ta meute à venir te chercher
Hélas les longues nuits sont tombées sur la Terre
Et tu es venu ici faire ton marché.
Tu parcours de longues distances sur la lande
Tu n’as qu’un but, te nourrir, en quête de proies
A chasser les rennes, sur les volcans d’Islande
Car il faut tuer, pour ne pas mourir de froid.
Tu donnes la mort, mais tu n’es qu’un animal
Comment t’en vouloir, toi, tu agis par instinct
Prétentieux humains, nous provoquons le mal
Notre sort est scellé, dans un même destin.
Quand la Lune est haute, on entend les pleurs du mâle
Il supplie l’astre d’or, à revoir sa femelle
Des plaintes d’amour, sous la brume fantomale
Où se trouve sa louve, son âme jumelle !
Et il parcourt éperdu, tout son territoire
Cherchant dans tous les sens, il se sent désarmé
Découvrant le corps sans vie, fini leur histoire
Avec un fusil, l’homme a tué son aimée !
Il s’enfuit le loup, en hurlant son désespoir
La forêt en a peur, maudit sois-tu humain
As-tu perdu ton cœur animal et mémoire ?
Tu es de chair et d’os, mais du sang sur les mains !