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Ma maîtresse
Elle pose ses bas à côté de l’abat-jour
Le miel de nos ébats coule sur les corps
Sa peau teintée d’amour resplendit au grand jour
Je l’aime avec ardeur, toujours et encore.
Je la vois, dénudée, étirant ses cheveux
D’un noir de jais, les caressant délicatement
Et me sourit tendrement, je lui fais un aveu
Celui d’être comblé, de nos froufroutements.
Et nous sortons de la chambre, main dans la main
Les regards se croisent, aucun mot nécessaire
Nous vivons l’instant, sans penser au lendemain
Nous sommes des enfants, aux sentiments sincères.
Je dois la quitter, la laisser partir, la voir
S’éloigner, cette femme qui est ma maîtresse
Vous êtes choqué ? Sans pouvoir l’apercevoir
Je vous donne son nom, c’est mon âme tigresse !
Elle pose ses bas à côté de l’abat-jour
Le miel de nos ébats coule sur les corps
Sa peau teintée d’amour resplendit au grand jour
Je l’aime avec ardeur, toujours et encore.
Je la vois, dénudée, étirant ses cheveux
D’un noir de jais, les caressant délicatement
Et me sourit tendrement, je lui fais un aveu
Celui d’être comblé, de nos froufroutements.
Et nous sortons de la chambre, main dans la main
Les regards se croisent, aucun mot nécessaire
Nous vivons l’instant, sans penser au lendemain
Nous sommes des enfants, aux sentiments sincères.
Je dois la quitter, la laisser partir, la voir
S’éloigner, cette femme qui est ma maîtresse
Vous êtes choqué ? Sans pouvoir l’apercevoir
Je vous donne son nom, c’est mon âme tigresse !