Hors ligne
Le mal m’esquinte, me foudroie
Dieu qu’il est beau, l’églantier
Je déambule entre brouhahas
V’la mes folies trop panachées
La mort est lente et la vie court
Le cœur se noue, incarcéré
Car toutes lésions un brin peinées
Jamais ne meurent, même dans un four...
Je ne suis rien, peut-être une flamme..
Celle d’un briquet, d’une allumette ;
Qui vacille, qui scrute les drames
Et les sombres alouettes.
Pourquoi ces rêves sous la flotte ?
Ces envoûtantes mélopées
Ces tourbillons, toutes ces litotes
Qui me consument, trop enragées...
Dieu qu’il est beau, l’églantier
Je déambule entre brouhahas
V’la mes folies trop panachées
La mort est lente et la vie court
Le cœur se noue, incarcéré
Car toutes lésions un brin peinées
Jamais ne meurent, même dans un four...
Je ne suis rien, peut-être une flamme..
Celle d’un briquet, d’une allumette ;
Qui vacille, qui scrute les drames
Et les sombres alouettes.
Pourquoi ces rêves sous la flotte ?
Ces envoûtantes mélopées
Ces tourbillons, toutes ces litotes
Qui me consument, trop enragées...