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Il portait un masque aux reflets dorés,
Un éclat trompeur, un charme sculpté.
Je l’ai cru forgé d’acier et de foi,
Mais sous la lumière, il s’effritait déjà.
Ses mots étaient fleuves, promesses et serments,
Des rivières tranquilles aux courants déchirants.
J’ai bu chaque goutte, j’ai cru chaque étoile,
Sans voir que l’ombre grandissait sous le voile.
Puis un soir, sans trembler, il a levé la main,
Brisé le silence, enfoncé le venin.
Les pierres de son temple sont tombées une à une,
Et sous le marbre lisse, il n’y avait que brume.
J’ai vu dans ses yeux l’éclat d’un néant,
Un vide glacé, un gouffre béant.
Il croyait tenir un empire enchaîné,
Mais c’est lui qui s’effondre sous son propre passé.
Moi, je recouds ma peau, je ravive ma flamme,
Là où il ne reste que poussière et drame.
Qu’il garde son masque, ses ruines, son fer,
Moi, je m’élève… loin de l’enfer.
Un éclat trompeur, un charme sculpté.
Je l’ai cru forgé d’acier et de foi,
Mais sous la lumière, il s’effritait déjà.
Ses mots étaient fleuves, promesses et serments,
Des rivières tranquilles aux courants déchirants.
J’ai bu chaque goutte, j’ai cru chaque étoile,
Sans voir que l’ombre grandissait sous le voile.
Puis un soir, sans trembler, il a levé la main,
Brisé le silence, enfoncé le venin.
Les pierres de son temple sont tombées une à une,
Et sous le marbre lisse, il n’y avait que brume.
J’ai vu dans ses yeux l’éclat d’un néant,
Un vide glacé, un gouffre béant.
Il croyait tenir un empire enchaîné,
Mais c’est lui qui s’effondre sous son propre passé.
Moi, je recouds ma peau, je ravive ma flamme,
Là où il ne reste que poussière et drame.
Qu’il garde son masque, ses ruines, son fer,
Moi, je m’élève… loin de l’enfer.