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Médiocre médiacratie
De nos jours chaque pamphlétaire
A beaucoup de travaux à faire.
Les pensées rasent le bitume
Et l'esprit n'est plus que posthume.
Il faut donc se méfier des sources
Ne pensant qu'à s'emplir la bourse
Cacher les conteurs de néant
Derrière d'utiles paravents
Et éviter le trop d’erreurs
Des médias manipulateurs.
Aussi sur des rimes antiques
Brodons quelque fiel satirique
espérant servir d’antidote
à cette presse qui radote.
Les Conquistadors médiatiques
Comme des crapauds nageant dans le chaos viral
Ils prennent le micro au long de la semaine
Disant leur ignorance d'une façon hautaine
Occuper le terrain est leur besoin vital.
Tous ces rois du néant princes du rien banal
Semant de maintes craintes la déplaisante graine
Ignorent que la science soit seule souveraine
À pouvoir refréner la progression du mal.
Ayant une sottise dépourvue de logique
Et ne pouvant régner sur le biologique
Ils se croient tout permis pour mieux nous apeurer
Occupant les médias gonflant leurs escarcelles
Ils dévoilent leur vide à nous en écœurer
Ne seraient-ils pas mieux au fond d’une poubelle?
Mignonne, allons voir la virose
Mignonne, allons voir la virose
Qui dès le matin nous propose
De polluer notre Soleil,
Et provoque cette curée
De la presse détériorée,
Qui incommode nos oreilles
Il lui faut occuper l’espace
De l’actualité dans l’impasse
Et se tenir sur le perchoir
Pour sans raisonnable mesure
Déblatérer des impostures
Dès le matin jusques au soir.
Mignonne l’ineptie foisonne
N’écoutez plus rien ni personne
L’ intéressante nouveauté,
Ne sera pas fruit de la presse
Il faut que science progresse
Seul le masque est sécurité.
Note du délateur :
Je ne reviendrai plus faire du mauvais esprit
Sur notre grand malheur issu d’un tout petit.
Deux centièmes de micron échappent à mes lunettes
et dénoncer les sots est trop grand casse-tête.
De nos jours chaque pamphlétaire
A beaucoup de travaux à faire.
Les pensées rasent le bitume
Et l'esprit n'est plus que posthume.
Il faut donc se méfier des sources
Ne pensant qu'à s'emplir la bourse
Cacher les conteurs de néant
Derrière d'utiles paravents
Et éviter le trop d’erreurs
Des médias manipulateurs.
Aussi sur des rimes antiques
Brodons quelque fiel satirique
espérant servir d’antidote
à cette presse qui radote.
Les Conquistadors médiatiques
Comme des crapauds nageant dans le chaos viral
Ils prennent le micro au long de la semaine
Disant leur ignorance d'une façon hautaine
Occuper le terrain est leur besoin vital.
Tous ces rois du néant princes du rien banal
Semant de maintes craintes la déplaisante graine
Ignorent que la science soit seule souveraine
À pouvoir refréner la progression du mal.
Ayant une sottise dépourvue de logique
Et ne pouvant régner sur le biologique
Ils se croient tout permis pour mieux nous apeurer
Occupant les médias gonflant leurs escarcelles
Ils dévoilent leur vide à nous en écœurer
Ne seraient-ils pas mieux au fond d’une poubelle?
Mignonne, allons voir la virose
Mignonne, allons voir la virose
Qui dès le matin nous propose
De polluer notre Soleil,
Et provoque cette curée
De la presse détériorée,
Qui incommode nos oreilles
Il lui faut occuper l’espace
De l’actualité dans l’impasse
Et se tenir sur le perchoir
Pour sans raisonnable mesure
Déblatérer des impostures
Dès le matin jusques au soir.
Mignonne l’ineptie foisonne
N’écoutez plus rien ni personne
L’ intéressante nouveauté,
Ne sera pas fruit de la presse
Il faut que science progresse
Seul le masque est sécurité.
Note du délateur :
Je ne reviendrai plus faire du mauvais esprit
Sur notre grand malheur issu d’un tout petit.
Deux centièmes de micron échappent à mes lunettes
et dénoncer les sots est trop grand casse-tête.
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