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"Méditativement"
Muse si vous vouliez nous prendrions le temps
De ne plus aborder des sujets inquiétants
De nous aller cacher au sein de poésies
Où s’échangent des phrases aimablement choisies
De n’avoir que douceurs à donner en échange
Indifférents au sort qui bien souvent dérange.
J’écrirais des quatrains et vous quelques beautés
Gommant de nos parcours toutes aspérités
Vous seriez philosophe et moi le réaliste
Je parlerais bonheur en suivant votre piste
Et usant de tendresse comme argument majeur
J’aimerais vos attraits en simple admirateur.
En vous donnant la main au cours de nos ballades
Loin des bruits de la ville et sans ses bousculades
Je chercherais des mots favorables au bonheur
Des lignes s’écrivant avec l’encre du cœur
Qui voilent quelque peu le tendre sentiment
Mais chantent vos attraits imperceptiblement.
Aurions-nous l’élégance et la discrétion
De succomber ou non à la tentation
Sachant que votre charme est plus qu’une apparence
Que l’envie, rarement est une incohérence
Que les corps en secret ont de sourdes ardeurs
Succombant quelque fois aux sensuelles douceurs.
Est-ce réalité ou rêve dominant
Il se peut que l’amour devienne chagrinant
Quand les pensées intimes échafaudant un songe
Ressemblent à ces lacs ou jamais on ne plonge
Quand dans l’âme captive le vent se fait si fort
Qu’on ne peut accéder au somptueux trésor.
Muse si vous vouliez nous prendrions le temps
De ne plus aborder des sujets inquiétants
De nous aller cacher au sein de poésies
Où s’échangent des phrases aimablement choisies
De n’avoir que douceurs à donner en échange
Indifférents au sort qui bien souvent dérange.
J’écrirais des quatrains et vous quelques beautés
Gommant de nos parcours toutes aspérités
Vous seriez philosophe et moi le réaliste
Je parlerais bonheur en suivant votre piste
Et usant de tendresse comme argument majeur
J’aimerais vos attraits en simple admirateur.
En vous donnant la main au cours de nos ballades
Loin des bruits de la ville et sans ses bousculades
Je chercherais des mots favorables au bonheur
Des lignes s’écrivant avec l’encre du cœur
Qui voilent quelque peu le tendre sentiment
Mais chantent vos attraits imperceptiblement.
Aurions-nous l’élégance et la discrétion
De succomber ou non à la tentation
Sachant que votre charme est plus qu’une apparence
Que l’envie, rarement est une incohérence
Que les corps en secret ont de sourdes ardeurs
Succombant quelque fois aux sensuelles douceurs.
Est-ce réalité ou rêve dominant
Il se peut que l’amour devienne chagrinant
Quand les pensées intimes échafaudant un songe
Ressemblent à ces lacs ou jamais on ne plonge
Quand dans l’âme captive le vent se fait si fort
Qu’on ne peut accéder au somptueux trésor.