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Méfiez vous des fées à l’arc en bandoulière !
Un peu de nostalgie obscurcit ma fenêtre
J’ai tant de souvenirs incrustés en mon être
Que je vous vois encore avec mes yeux d’hier
Et que je voudrais bien retrouver la manière
Dont je vous ai séduite avec peu de paroles
Il est vrai qu’elles étaient audacieuses et folles.
Vous aviez tous ces riens et qui pourtant sont tout
Définissant le charme et étiez à mon goût
Un rêve délicieux s’imposant à mon âme.
Il n’y eut plus que vous, vous devîntes La Femme.
Ce surcroît d’existence offert par la beauté
Ce subtil complément de la félicité.
Alors je vous parlai perdu dans mes nuages
Du livre de mon cœur je vous montrai les pages
Et plus je les tournais plus noyé dans vos yeux
Je ressentais la flèche de l’ange malicieux
Je découvrais soudain la secrète attirance
De vos tendres attraits et de votre influence.
Aviez-vous en l’esprit une attente secrète ?
À entendre un aveu étiez vous déjà prête ?
À voix basse j’ai dit mon secret sentiment
Et nos lèvres s’unirent assez intimement
Pour que le goût du fruit brûlant mon espérance
Conduise à faire durer l’exquise lancinance.
De cet oral accord que l’envie prolongea
Nous fîmes un plaisir durable et délicat
Mais bien qu’appréciant l’échange des saveurs
Vous avez refusé de plus grandes faveurs
Disant qu’il fallait faire plus ample connaissance
Avant que d’espérer l’intime appartenance.
Je vous revis souvent et montai pas à pas
Les marches conquérant vos sublimes appas
Lors vous étiez cousette et vos travaux finis
Le petit atelier vit des actes exquis
J’avais de mes envies éveillé vos désirs
Vous vous abandonnâtes aux espérés plaisirs.
Donnant à nos rencontres un sensuel attrait
Nous ornâmes l’amour que l’on croyait abstrait
De cette intensité qui trouble et qui enchante
La folie partagée en devint attachante
Et je vous attendais votre travail fini
Pour coudre votre corps de moments d’infini.
Était-ce un coup de foudre, inévitable sort,
Qui pousse deux amants au plus intime accord ?
L’archer malicieux fait flèche par surprise
Sans même prévenir de sa tendre entreprise
Et soudain nous étions en pleine concordance
Les cœurs se complétant, les corps en dépendance.
Dans la nuit du destin vous fûtes ma lumière
La source de bonheur, la sublime rivière,
De vous je reçus tant que je voulus donner
Tout l’amour dont l’archer savait m’aiguillonner
Ce fut un coup de foudre un imprévu miracle
Une réalité d’un incroyable oracle.
Depuis je n’ai jamais connu la solitude
L’amour m’a capturé c’est une certitude
Et que ce soit en rêve ou en réalité
Vous êtes mon envie et ma nécessité
Le sablier du temps peut perdre tout son sable
Vous resterez toujours ma fée inoubliable.
Un peu de nostalgie obscurcit ma fenêtre
J’ai tant de souvenirs incrustés en mon être
Que je vous vois encore avec mes yeux d’hier
Et que je voudrais bien retrouver la manière
Dont je vous ai séduite avec peu de paroles
Il est vrai qu’elles étaient audacieuses et folles.
Vous aviez tous ces riens et qui pourtant sont tout
Définissant le charme et étiez à mon goût
Un rêve délicieux s’imposant à mon âme.
Il n’y eut plus que vous, vous devîntes La Femme.
Ce surcroît d’existence offert par la beauté
Ce subtil complément de la félicité.
Alors je vous parlai perdu dans mes nuages
Du livre de mon cœur je vous montrai les pages
Et plus je les tournais plus noyé dans vos yeux
Je ressentais la flèche de l’ange malicieux
Je découvrais soudain la secrète attirance
De vos tendres attraits et de votre influence.
Aviez-vous en l’esprit une attente secrète ?
À entendre un aveu étiez vous déjà prête ?
À voix basse j’ai dit mon secret sentiment
Et nos lèvres s’unirent assez intimement
Pour que le goût du fruit brûlant mon espérance
Conduise à faire durer l’exquise lancinance.
De cet oral accord que l’envie prolongea
Nous fîmes un plaisir durable et délicat
Mais bien qu’appréciant l’échange des saveurs
Vous avez refusé de plus grandes faveurs
Disant qu’il fallait faire plus ample connaissance
Avant que d’espérer l’intime appartenance.
Je vous revis souvent et montai pas à pas
Les marches conquérant vos sublimes appas
Lors vous étiez cousette et vos travaux finis
Le petit atelier vit des actes exquis
J’avais de mes envies éveillé vos désirs
Vous vous abandonnâtes aux espérés plaisirs.
Donnant à nos rencontres un sensuel attrait
Nous ornâmes l’amour que l’on croyait abstrait
De cette intensité qui trouble et qui enchante
La folie partagée en devint attachante
Et je vous attendais votre travail fini
Pour coudre votre corps de moments d’infini.
Était-ce un coup de foudre, inévitable sort,
Qui pousse deux amants au plus intime accord ?
L’archer malicieux fait flèche par surprise
Sans même prévenir de sa tendre entreprise
Et soudain nous étions en pleine concordance
Les cœurs se complétant, les corps en dépendance.
Dans la nuit du destin vous fûtes ma lumière
La source de bonheur, la sublime rivière,
De vous je reçus tant que je voulus donner
Tout l’amour dont l’archer savait m’aiguillonner
Ce fut un coup de foudre un imprévu miracle
Une réalité d’un incroyable oracle.
Depuis je n’ai jamais connu la solitude
L’amour m’a capturé c’est une certitude
Et que ce soit en rêve ou en réalité
Vous êtes mon envie et ma nécessité
Le sablier du temps peut perdre tout son sable
Vous resterez toujours ma fée inoubliable.