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Mémoires
Ô cités antiques, vos splendeurs du passé
Ne sont plus que ruines, vestiges classés
Les noms de vos rois sont inscrits dans la pierre
Poussières, ils sont retournés en poussière
Prenez garde, humains, peuples contemporains
Méfiez-vous de vos présidents, souverains
Car ils peuvent perdre quelquefois la mémoire
En oubliant leurs devoirs dans leurs tours d’ivoire
En démocratie, ils ont besoin de vos votes
Ne leur donnez pas de confiance dévote
Ils sont gangrenés par l’argent et le pouvoir
Promesses non tenues, vous devez le savoir
Mémoires gravées dans le marbre et dans la pierre
Au cœur même de l'arbre recouvert de lierre
Les traces oubliées d'un auguste passé
Car les souvenirs ne sont pas tous effacés
Elles sont mortes les sociétés antiques
Que reste-t-il de leur grandeur, fantomatiques
Ruines de palais et de temples, leurs Dieux
Ont quitté les cités et ont fait leurs adieux
Et l'homme à ses enfants que va-t-il leur laisser
Notre monde contemporain est agressé
Blessé, pourra-t-il résister aux aléas
Des temps futurs, aux prédictions des Mayas ?
Quand la tempête souffle ses vents coléreux
Déterrant d'un sol mou des arbres millénaires
Quand la mer cabre ses chevaux d’eau furieux
Arrachant de la terre un palais légendaire
Rois et Dieux antiques, de lointains souvenirs
Le sable du temps a englouti vos grandeurs
Ne laissant au grand jour qu’un passé agonir
Sur vos ossements ne marchent que des rôdeurs
Et l’Homme actuel dans son costume étriqué
Veut quitter la mère nourricière, partir
Conquérir les cieux, les Dieux vont-ils abdiqués
Ou l’empêcher vraiment de tout anéantir ?
Ô cités antiques, vos splendeurs du passé
Ne sont plus que ruines, vestiges classés
Les noms de vos rois sont inscrits dans la pierre
Poussières, ils sont retournés en poussière
Prenez garde, humains, peuples contemporains
Méfiez-vous de vos présidents, souverains
Car ils peuvent perdre quelquefois la mémoire
En oubliant leurs devoirs dans leurs tours d’ivoire
En démocratie, ils ont besoin de vos votes
Ne leur donnez pas de confiance dévote
Ils sont gangrenés par l’argent et le pouvoir
Promesses non tenues, vous devez le savoir
Mémoires gravées dans le marbre et dans la pierre
Au cœur même de l'arbre recouvert de lierre
Les traces oubliées d'un auguste passé
Car les souvenirs ne sont pas tous effacés
Elles sont mortes les sociétés antiques
Que reste-t-il de leur grandeur, fantomatiques
Ruines de palais et de temples, leurs Dieux
Ont quitté les cités et ont fait leurs adieux
Et l'homme à ses enfants que va-t-il leur laisser
Notre monde contemporain est agressé
Blessé, pourra-t-il résister aux aléas
Des temps futurs, aux prédictions des Mayas ?
Quand la tempête souffle ses vents coléreux
Déterrant d'un sol mou des arbres millénaires
Quand la mer cabre ses chevaux d’eau furieux
Arrachant de la terre un palais légendaire
Rois et Dieux antiques, de lointains souvenirs
Le sable du temps a englouti vos grandeurs
Ne laissant au grand jour qu’un passé agonir
Sur vos ossements ne marchent que des rôdeurs
Et l’Homme actuel dans son costume étriqué
Veut quitter la mère nourricière, partir
Conquérir les cieux, les Dieux vont-ils abdiqués
Ou l’empêcher vraiment de tout anéantir ?