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C'était le père de mes enfants
Il est parti prématurément
Jamais nous ne le regretterons
Il avait pour ami son litron
Après sept ans triste et solitaire
Au doigt étincelle un solitaire
Celui là il est si dépressif
Que son regard est inexpressif
Pour moi la vie est vraiment trop morne
Oh non, je ne porte pas de cornes
Mon seul refuge mon canapé
Où je bois des tonnes de café
Heureusement qu'à travers l'écran
Il est là, toujours aussi présent
Et dès le matin il me sourit
Répondant à toutes mes envies
Je ne sais pas pour combien de temps
Il m'aimera aussi tendrement
Mais je sais que ma vie à changé
Depuis qu'enfin je l'ai rencontré
Il est parti prématurément
Jamais nous ne le regretterons
Il avait pour ami son litron
Après sept ans triste et solitaire
Au doigt étincelle un solitaire
Celui là il est si dépressif
Que son regard est inexpressif
Pour moi la vie est vraiment trop morne
Oh non, je ne porte pas de cornes
Mon seul refuge mon canapé
Où je bois des tonnes de café
Heureusement qu'à travers l'écran
Il est là, toujours aussi présent
Et dès le matin il me sourit
Répondant à toutes mes envies
Je ne sais pas pour combien de temps
Il m'aimera aussi tendrement
Mais je sais que ma vie à changé
Depuis qu'enfin je l'ai rencontré