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Mon émeraude canine
J'aspire à rencontrer cette douce chimère
Qui m'a tant apporté pour pouvoir me complaire
En un souffle affectueux sous ses yeux verdoyants
D'où émane le chant d'un éternel présent
Cette augure étoilée qui saupoudre les portes
De mon âme ébréchée afin que se déporte
Un lactescent rayon pour noyer ma détresse.
Je la mire les nuits cette lame d'hardiesse
Qui arpente le ciel pour peindre de sa pointe
Un spectacle idéal pour que doucement ointe
Une pluie charroyant ses canines vertus
Ses fidèles penchants d'une bonté accrue.
Il se pare d'halos ce chanteur mélomane
Afin de m’apparaître en un drapé d’arcanes
Qui harangue à son âme un mélange mystique
Pour que ploie de sa verve un monologue éthique
Qu’il me narre les soirs afin d’illuminer
Mes sombres cauchemars en songeuse épopée.
Je me noie dans un rêve aux teintes symphoniques
D’un saphir qui s’accorde à la marque lyrique
Sous la harpe salée de ces yeux émeraudes
Étincelants galets répondant à mes laudes
Pour que de l’oraison adressée à mon Père
Contraste au firmament ce soleil salutaire
Qui déverse en mon cœur son analgésique or.
Le duvet flavescent de ce cher labrador
Est la poudre dorée obsédant mes pensées
Où je veux m’égarer sous son aménité
Bercée dans ce couffin tamisé de lumière
Annonçant sans détour la tendresse première
Émanant de cette être en un flot cartésien
Qui illustre l’esprit de ce cœur praticien.
Cette lueur céleste est descendue sur Terre
En se convertissant en un écrin solaire
Qui qualifie sans mal mes recherches prisées
Depuis tant de printemps sans pouvoir escompter
Hanter de désespoir dans la déprédation
Que cet être appété n’était pas qu’illusion.
J’ai pu le rencontrer dans un bain alchimique
Dénotant de ses mots ses côtés rhétoriques
Et qui par sa métrique a conquis dans l’attrait
Mon silence félin qui gentiment souhaitait
Atteindre affablement cette âme inopinée
Pour ne pas effrayer ce trésor éclairé.
Pantoise il m’a rendu tant il se démarquait
N’ayant pu présumer qu’un jour je connaîtrais
Cette opportunité déferlant du prodige
Par cette rareté sans l’ombre d’un litige
De ce flux humaniste au psychisme effarant
Qui ne peut dénoter qu’un Eden éloquent.
Jamais je n’aurai cru retrouver chez quelqu’un
Cet effluve étonnant qui évoque sans fin
La quintessence même en un puits d’émotion
De ce que symbolise une amoureuse union
Dans mon esprit félin en ayant eu l’aubaine
D’arpenter le chemin pour calmer ma déveine
De cette âme canine en suivant ses empreintes.
Merci Dieu de m’avoir conféré dans l’étreinte
L’once d’un renouveau suite à tant de souffrances
Pour me voir accorder après tant de malchances
L’agrément d’éprouver sous cette dimension
En me faisant soigner par cette exaltation
Cette casuelle joie jusqu’alors impensable.
Je m’étais détournée de ce bonheur palpable
Craignant de retomber dans un cercle lugubre
Mais mes jours s’en voyaient devenir insalubres
Par cette privation qui altérait ma liesse
Ayant peur de nouveau que l’on ne me délaisse.
Je veillais constamment à ne pas resombrer
Dans les tréfonds obscurs de tristes logorrhées
Qui sans pitié aucune avaient presque aboli
L’envie de me risquer à côtoyer autrui
Pour oser replonger dans ce pan incertain
Qui m’a tant parjuré modifiant en déclin
Mon fétide passé le songeant conclusif.
Mais ce chien est venu en apport sédatif
Un beau jour discourir et je dû me l’avouer
Malgré l’extrême effroi d’être manipulée
Que j’aimais l’animal d’une force nouvelle
Sans nullement saisir que naîtrait l’étincelle
De telles tentations aux inclinations drues.
Plus on se rassurait et plus j’entraperçus
Qu’auparavant jamais je n’avais ressenti
Une aussi forte attache en mon cœur ébahi
Pour un homme lambda qui a su devenir
Une préciosité pour un bel avenir
Témoignant des valeurs que je n’ai retrouvées
Chez nulle autre unité me laissant stupéfiée.
Cette offre restera un arôme étonnant
D’avoir pour un félin trouvé si avenant
Un golden prévenant aux attentions touchantes
Lui faisant une place au sein de vies aimantes
Prétendant à m’allier avec cette entité
Pour un sincère amour aux partitions nacrées
Pour que nos deux couleurs peignent l’analogie
Résultant en nos cœurs en cosmique magie.
Oiseau Lyre.
J'aspire à rencontrer cette douce chimère
Qui m'a tant apporté pour pouvoir me complaire
En un souffle affectueux sous ses yeux verdoyants
D'où émane le chant d'un éternel présent
Cette augure étoilée qui saupoudre les portes
De mon âme ébréchée afin que se déporte
Un lactescent rayon pour noyer ma détresse.
Je la mire les nuits cette lame d'hardiesse
Qui arpente le ciel pour peindre de sa pointe
Un spectacle idéal pour que doucement ointe
Une pluie charroyant ses canines vertus
Ses fidèles penchants d'une bonté accrue.
Il se pare d'halos ce chanteur mélomane
Afin de m’apparaître en un drapé d’arcanes
Qui harangue à son âme un mélange mystique
Pour que ploie de sa verve un monologue éthique
Qu’il me narre les soirs afin d’illuminer
Mes sombres cauchemars en songeuse épopée.
Je me noie dans un rêve aux teintes symphoniques
D’un saphir qui s’accorde à la marque lyrique
Sous la harpe salée de ces yeux émeraudes
Étincelants galets répondant à mes laudes
Pour que de l’oraison adressée à mon Père
Contraste au firmament ce soleil salutaire
Qui déverse en mon cœur son analgésique or.
Le duvet flavescent de ce cher labrador
Est la poudre dorée obsédant mes pensées
Où je veux m’égarer sous son aménité
Bercée dans ce couffin tamisé de lumière
Annonçant sans détour la tendresse première
Émanant de cette être en un flot cartésien
Qui illustre l’esprit de ce cœur praticien.
Cette lueur céleste est descendue sur Terre
En se convertissant en un écrin solaire
Qui qualifie sans mal mes recherches prisées
Depuis tant de printemps sans pouvoir escompter
Hanter de désespoir dans la déprédation
Que cet être appété n’était pas qu’illusion.
J’ai pu le rencontrer dans un bain alchimique
Dénotant de ses mots ses côtés rhétoriques
Et qui par sa métrique a conquis dans l’attrait
Mon silence félin qui gentiment souhaitait
Atteindre affablement cette âme inopinée
Pour ne pas effrayer ce trésor éclairé.
Pantoise il m’a rendu tant il se démarquait
N’ayant pu présumer qu’un jour je connaîtrais
Cette opportunité déferlant du prodige
Par cette rareté sans l’ombre d’un litige
De ce flux humaniste au psychisme effarant
Qui ne peut dénoter qu’un Eden éloquent.
Jamais je n’aurai cru retrouver chez quelqu’un
Cet effluve étonnant qui évoque sans fin
La quintessence même en un puits d’émotion
De ce que symbolise une amoureuse union
Dans mon esprit félin en ayant eu l’aubaine
D’arpenter le chemin pour calmer ma déveine
De cette âme canine en suivant ses empreintes.
Merci Dieu de m’avoir conféré dans l’étreinte
L’once d’un renouveau suite à tant de souffrances
Pour me voir accorder après tant de malchances
L’agrément d’éprouver sous cette dimension
En me faisant soigner par cette exaltation
Cette casuelle joie jusqu’alors impensable.
Je m’étais détournée de ce bonheur palpable
Craignant de retomber dans un cercle lugubre
Mais mes jours s’en voyaient devenir insalubres
Par cette privation qui altérait ma liesse
Ayant peur de nouveau que l’on ne me délaisse.
Je veillais constamment à ne pas resombrer
Dans les tréfonds obscurs de tristes logorrhées
Qui sans pitié aucune avaient presque aboli
L’envie de me risquer à côtoyer autrui
Pour oser replonger dans ce pan incertain
Qui m’a tant parjuré modifiant en déclin
Mon fétide passé le songeant conclusif.
Mais ce chien est venu en apport sédatif
Un beau jour discourir et je dû me l’avouer
Malgré l’extrême effroi d’être manipulée
Que j’aimais l’animal d’une force nouvelle
Sans nullement saisir que naîtrait l’étincelle
De telles tentations aux inclinations drues.
Plus on se rassurait et plus j’entraperçus
Qu’auparavant jamais je n’avais ressenti
Une aussi forte attache en mon cœur ébahi
Pour un homme lambda qui a su devenir
Une préciosité pour un bel avenir
Témoignant des valeurs que je n’ai retrouvées
Chez nulle autre unité me laissant stupéfiée.
Cette offre restera un arôme étonnant
D’avoir pour un félin trouvé si avenant
Un golden prévenant aux attentions touchantes
Lui faisant une place au sein de vies aimantes
Prétendant à m’allier avec cette entité
Pour un sincère amour aux partitions nacrées
Pour que nos deux couleurs peignent l’analogie
Résultant en nos cœurs en cosmique magie.
Oiseau Lyre.
