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Tu parfumes ma vie d’un souffle pâtissier
Qui sent bon le voyage en des contrées îliennes
Flèche de Cupidon qui ferme ses persiennes
Sur la plus belle odeur qu’est son âme éclairée.
Tu sécrètes tes grains sous le doigté habile
D’un gourmet avisé à sublimer son art
En ne perdant le Nord pour compter ton histoire
Celle d’une leçon sous tes perles agiles.
Toujours bien orienté, tu verses ton argent
Ton poudrin trésorier afin de parsemer
De tes divers secrets ces aubades sucrées
En pailletant ces mets des arômes d’Orient.
T’avoir en nos palais est une émanation
De saveurs parvenant à titiller nos bouches
Où la langue s’allie pour apprécier la souche
De ces goûts chaleureux honorant ta nation.
Sélénite à scinder un morceau de son ciel
Pour que tu puisses naître, bercé par sa lumière
En un lieu apaisant qui dès lors te confère
Un rôle incontournable au creux des écuelles.
Elle t’a vu grandir et t’as donné sa force
Son caractère doux et si mystérieux
En t’aromatisant des couleurs de ses cieux
Pour te voir discerner cet or sous ton écorce.
Continue d’irradier nos papilles charmées
Sous ta littérature en déversant en nous
Ta nocturne palette en ton fusain hindou
Qui le temps de tes vers calme notre anxiété.
Sous l’aura de ta mère, perpétue ton chemin
Toi maître des desserts ne cessant de prouver
Ton savoir mélomane aux cristaux étoilées
En rythmant tes écrits d’un phrasé colombin.
C’est un écu de Dieu que j’offre à mon gâteau
Quand ta gousse, en l’ouvrant, j’en extrais son essence
Pour orner sa saveur d’une paix d’éloquence
En mariant ta sagesse à mon modeste appeau.
Une lune de miel, se dessine, peu à peu
Lorsque j’ose verser cette chaleur nuptiale
D’un catholique apport en son seing clérical
Sur ces corps nourriciers pour un bal harmonieux.
Alors sous les conseils avisés je m’entraîne
De cet ange obscurci rayonnant par son cœur
A ne plus, en nul cas, refaire cette erreur
Que de, nonchalamment, juger sur leurs dégaines.
De chaque nourriture, je saurais relever
Sa substance divine afin de parapher
Mes poèmes de ces individualités
Pour que je confectionne un alléchant phrasé.
Que l’on aime ou déteste, il suffit d’aborder
L’aliment en question qui a tant à nous dire
Sous un nouveau regard afin de nous instruire
En imprégnant nos cœurs de leurs esprits lettrés.
Chacun à son histoire, évadons-nous alors
Afin d’exploiter la palette culinaire
Infinie et si vaste où notre imaginaire
Pourra tout essayer pour sculpter ses accords.
Cette définition de la gastronomie
M’a été racontée par cette source mère
De bien des appareils de mes tendres chimères
Et je t’en remercie aurore de mes nuits.
Oiseau Lyre.
Qui sent bon le voyage en des contrées îliennes
Flèche de Cupidon qui ferme ses persiennes
Sur la plus belle odeur qu’est son âme éclairée.
Tu sécrètes tes grains sous le doigté habile
D’un gourmet avisé à sublimer son art
En ne perdant le Nord pour compter ton histoire
Celle d’une leçon sous tes perles agiles.
Toujours bien orienté, tu verses ton argent
Ton poudrin trésorier afin de parsemer
De tes divers secrets ces aubades sucrées
En pailletant ces mets des arômes d’Orient.
T’avoir en nos palais est une émanation
De saveurs parvenant à titiller nos bouches
Où la langue s’allie pour apprécier la souche
De ces goûts chaleureux honorant ta nation.
Sélénite à scinder un morceau de son ciel
Pour que tu puisses naître, bercé par sa lumière
En un lieu apaisant qui dès lors te confère
Un rôle incontournable au creux des écuelles.
Elle t’a vu grandir et t’as donné sa force
Son caractère doux et si mystérieux
En t’aromatisant des couleurs de ses cieux
Pour te voir discerner cet or sous ton écorce.
Continue d’irradier nos papilles charmées
Sous ta littérature en déversant en nous
Ta nocturne palette en ton fusain hindou
Qui le temps de tes vers calme notre anxiété.
Sous l’aura de ta mère, perpétue ton chemin
Toi maître des desserts ne cessant de prouver
Ton savoir mélomane aux cristaux étoilées
En rythmant tes écrits d’un phrasé colombin.
C’est un écu de Dieu que j’offre à mon gâteau
Quand ta gousse, en l’ouvrant, j’en extrais son essence
Pour orner sa saveur d’une paix d’éloquence
En mariant ta sagesse à mon modeste appeau.
Une lune de miel, se dessine, peu à peu
Lorsque j’ose verser cette chaleur nuptiale
D’un catholique apport en son seing clérical
Sur ces corps nourriciers pour un bal harmonieux.
Alors sous les conseils avisés je m’entraîne
De cet ange obscurci rayonnant par son cœur
A ne plus, en nul cas, refaire cette erreur
Que de, nonchalamment, juger sur leurs dégaines.
De chaque nourriture, je saurais relever
Sa substance divine afin de parapher
Mes poèmes de ces individualités
Pour que je confectionne un alléchant phrasé.
Que l’on aime ou déteste, il suffit d’aborder
L’aliment en question qui a tant à nous dire
Sous un nouveau regard afin de nous instruire
En imprégnant nos cœurs de leurs esprits lettrés.
Chacun à son histoire, évadons-nous alors
Afin d’exploiter la palette culinaire
Infinie et si vaste où notre imaginaire
Pourra tout essayer pour sculpter ses accords.
Cette définition de la gastronomie
M’a été racontée par cette source mère
De bien des appareils de mes tendres chimères
Et je t’en remercie aurore de mes nuits.
Oiseau Lyre.
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