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Préambule:
Quand tu t'approches de moi
dans ta belle nonchalance
le Paradis j'aperçois
Mon cœur en toi se balance...
Ta vie se compte en printemps
la mienne est faite d'hivers
mes tempes aux fils d'argent
se rident comme un désert.
Ma peau n'est qu'un parchemin
où s'inscrivent nos histoires
elles gravent à l'or fin
tout cet amour à ta gloire.
Entre tes bras je ne peux
que me glisser dans ton ombre
désormais je suis trop vieux
pour sortir de ta pénombre.
Je t'aime comme une rose
que je ne pourrai cueillir
mon regard sur toi se pose
comme un poème à t'écrire.
Tu as le coeur papillon
butinant de fleur en fleur,
en posant tes émotions
sur moi en petits bonheurs.
Je brûle d'une passion
qui ne peut se déclarer
je reste dans l'émotion
de rêves inachevés.
De ces matins qui me restent
tu es mon plus bel hiver
où dans mes ultimes gestes
s'égrène mon univers.
Ta vie se compte en printemps
la mienne est faite d'hivers
mes tempes aux fils d'argent
se rident comme un désert.
Vik
Quand tu t'approches de moi
dans ta belle nonchalance
le Paradis j'aperçois
Mon cœur en toi se balance...
Ta vie se compte en printemps
la mienne est faite d'hivers
mes tempes aux fils d'argent
se rident comme un désert.
Ma peau n'est qu'un parchemin
où s'inscrivent nos histoires
elles gravent à l'or fin
tout cet amour à ta gloire.
Entre tes bras je ne peux
que me glisser dans ton ombre
désormais je suis trop vieux
pour sortir de ta pénombre.
Je t'aime comme une rose
que je ne pourrai cueillir
mon regard sur toi se pose
comme un poème à t'écrire.
Tu as le coeur papillon
butinant de fleur en fleur,
en posant tes émotions
sur moi en petits bonheurs.
Je brûle d'une passion
qui ne peut se déclarer
je reste dans l'émotion
de rêves inachevés.
De ces matins qui me restent
tu es mon plus bel hiver
où dans mes ultimes gestes
s'égrène mon univers.
Ta vie se compte en printemps
la mienne est faite d'hivers
mes tempes aux fils d'argent
se rident comme un désert.
Vik
