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Poème pour remercier un groupe de tchat, dont certaines personnes au sein de ce groupe, pour tout ce qu'elles m'ont apporté.
En errant sur le net j'ai pu y découvrir
En pointant une oreille en cette direction
Un mot qui m'invitait sous un radieux sourire
À déposer mon âme au creux de cette onction.
J'ai tâté le terrain sous ma vue nyctalope
En me méfiant de tout et restant sur mes gardes
Et puis à pas feutrés en ce nouveau biotope
Je me risque à entrer au sein d’une mansarde.
J’inspecte les salons et ces nouveaux décors
Les multiples dessins et écrits de certains
Jusqu’à saisir que ce bijou scintillant d’or
N’était pas un Enfer mais un tendre couffin.
Craintivement sous cette étoile chamoirée
J’installai mon panier ainsi que ma litière
Ne sachant que j’allais au creux de ces contrés
Rester à tout jamais dans cet orbe lunaire.
J’avais trouvé ma place, moi qui ait pourtant peur
Des têtes inconnues ayant beaucoup de mal
Avec les liens humains ralliés à mes malheurs
D’expériences passées nuisant à mon moral.
La sociabilité n’a jamais su germer
En un talent primeur dans mes pouvoirs félins
Devenant solitaire après avoir tenter
De renouer le contact avec l’esprit humain.
Soit on m’abandonnait, soit on me négligeait
Voire on me disputait quand j’osais revenir
Auprès des unités auxquelles je tenais
M’invectivant leur haine imbibée de leur ire.
Alors je m’éteignis du roux crépusculaire
Pour parsemer mes poils d’un poudrin sélénique
Et, ignare, rejoignis, ce prometteur bréviaire
Sans savoir que cette aube adviendrait utopique.
On m’a tout bonnement octroyer de l’espoir
En calmant mes frayeurs avec ces entités
Et conjurer le sort de mes nombreux déboires
En venant à m’offrir des faits inopinés.
Alors dans ce berceau parsemé de lumière
On irrigua mon corps d’une énergie nouvelle
En un afflux précieux, si rare mais sincère
De fiables sentiments inhalant mes séquelles.
Merci à cette pluie d’astres me conférant
Leurs penchants amicaux rutilant en mon cœur
Pendant qu’un labrador au regard envoûtant
M’offrit le plus brillant : son amour rédempteur.
Oiseau Lyre.
En errant sur le net j'ai pu y découvrir
En pointant une oreille en cette direction
Un mot qui m'invitait sous un radieux sourire
À déposer mon âme au creux de cette onction.
J'ai tâté le terrain sous ma vue nyctalope
En me méfiant de tout et restant sur mes gardes
Et puis à pas feutrés en ce nouveau biotope
Je me risque à entrer au sein d’une mansarde.
J’inspecte les salons et ces nouveaux décors
Les multiples dessins et écrits de certains
Jusqu’à saisir que ce bijou scintillant d’or
N’était pas un Enfer mais un tendre couffin.
Craintivement sous cette étoile chamoirée
J’installai mon panier ainsi que ma litière
Ne sachant que j’allais au creux de ces contrés
Rester à tout jamais dans cet orbe lunaire.
J’avais trouvé ma place, moi qui ait pourtant peur
Des têtes inconnues ayant beaucoup de mal
Avec les liens humains ralliés à mes malheurs
D’expériences passées nuisant à mon moral.
La sociabilité n’a jamais su germer
En un talent primeur dans mes pouvoirs félins
Devenant solitaire après avoir tenter
De renouer le contact avec l’esprit humain.
Soit on m’abandonnait, soit on me négligeait
Voire on me disputait quand j’osais revenir
Auprès des unités auxquelles je tenais
M’invectivant leur haine imbibée de leur ire.
Alors je m’éteignis du roux crépusculaire
Pour parsemer mes poils d’un poudrin sélénique
Et, ignare, rejoignis, ce prometteur bréviaire
Sans savoir que cette aube adviendrait utopique.
On m’a tout bonnement octroyer de l’espoir
En calmant mes frayeurs avec ces entités
Et conjurer le sort de mes nombreux déboires
En venant à m’offrir des faits inopinés.
Alors dans ce berceau parsemé de lumière
On irrigua mon corps d’une énergie nouvelle
En un afflux précieux, si rare mais sincère
De fiables sentiments inhalant mes séquelles.
Merci à cette pluie d’astres me conférant
Leurs penchants amicaux rutilant en mon cœur
Pendant qu’un labrador au regard envoûtant
M’offrit le plus brillant : son amour rédempteur.
Oiseau Lyre.
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