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Elle pénètre sous les obscures voûtes
Et rien, pas même l'amour ne l'envoute
Le vent, la transcende mais rien
Oh rien, ne lui procure de bien
Elle vit et son cœur sévit;
Son âme qui se tord, qui se plie
Sur terre, rien ne va, et elle pense
Au monde, des âmes qui s'élancent
Loin, où les vagues sont douces
Loin, vers un ciel plein de mousses
Car ici la laideur est à l'aise
Et les brises ravivent la fournaise
Et rien, pas même l'amour ne l'envoute
Le vent, la transcende mais rien
Oh rien, ne lui procure de bien
Elle vit et son cœur sévit;
Son âme qui se tord, qui se plie
Sur terre, rien ne va, et elle pense
Au monde, des âmes qui s'élancent
Loin, où les vagues sont douces
Loin, vers un ciel plein de mousses
Car ici la laideur est à l'aise
Et les brises ravivent la fournaise
