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Poème Mouvement perpétuel ( Fable éroticorigolarde)

Peniculo

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#1
Mouvement perpétuel



Il fréquentait une vendeuse
Qui allait le ruiner en fleurs
Elle avait beau être charmeuse
Onéreuse était son ardeur.

La fleuriste bien plus discrète
Avait quelques atouts majeurs
Lui offrir des fleurs c’était bête
Il alla chez un confiseur.

Elle aima bien ses chocolats
Mais elle était répétitive
La routine le rendit las
Il rechercha une inventive.

La confiseuse séduisante
Prit le relais très plaisamment
Il lui offrit Molière et Dante
Les livre sont un beau présent.

La libraire avait par hasard
La rétine voluptueuse
Et subissant son doux regard
Il déserta la confiseuse

Il lui offrit des bibelots
Car elle aimait les porcelaines
Il fréquenta son bungalow
Assidûment quelques semaines.

La marchande des objets d’art
Ayant une inventive ardeur
Lui promit des choses bizarres
Et il cessa d’être lecteur.


Il commença à hésiter
Puis choisit une eau de toilette
Elle en aima la qualité
L’incita à la galipette

Au bout d’un temps la parfumeuse
Lui sembla des pus désirables
Il quitta donc l’onéreuse
Pour des moments plus délectables

Puis offrit à nouveau des fleurs
Tendues d’une main masculine
Mais il conserva ses valeurs
Ses amours restant féminines

À la pharmacie cependant
une vendeuse s’extasie
Sur les articles conséquents
Nécessaires à sa fantaisie

Il lui en expliqua la cause
Elle prit vite le relais
Disant mon amant est en pause
Remplacez le donc s’il vous plaît.

Comme elle aimait la bonne chère
Il l’emmena au restaurant
Elle adorait la surenchère
Cela en devint fatiguant

Il rencontra une marquises
Millésimée modérément
Pensant que sa tendre entreprise
Ne l’userait que lentement

Hélas la noblesse du jour
N’est plus digne de confiance
Il reçut d’elle en quelques jours
D’un élevage la nuisance

Le pharmacien l’ayant revu
Pour des raisons thérapeutiques
Dans le quartier il fut mal vu
Catalogué peu hygiénique.

Il fit donc le traitement
Puis découvrit avec bonheur
Dans un autre arrondissement
Une dame adorant les fleurs

Se méfiant de la noblesse
Il ne se précipita plus
Sur la particule et la fesse
Dont l’entretien est farfelu

Mais la fleuriste du quartier
Ayant des reliefs favorables
Il s’offrit à elle en entier
Et ainsi se poursuit la fable.













 
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#2
Excellent ! On dirait du Brassens par exemple le goriiiiilllle lol

Compliments sincères,

Votre ami de plume, julien
 

Moi

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#3
Bravo! Chapeau!.c'est excellent
Mais s'en pouvait il être autrement
Quand on connait votre talent
Merci pour ce très bon moment.

Amitiés
 
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#4
Mouvement perpétuel



Il fréquentait une vendeuse
Qui allait le ruiner en fleurs
Elle avait beau être charmeuse
Onéreuse était son ardeur.

La fleuriste bien plus discrète
Avait quelques atouts majeurs
Lui offrir des fleurs c’était bête
Il alla chez un confiseur.

Elle aima bien ses chocolats
Mais elle était répétitive
La routine le rendit las
Il rechercha une inventive.

La confiseuse séduisante
Prit le relais très plaisamment
Il lui offrit Molière et Dante
Les livre sont un beau présent.

La libraire avait par hasard
La rétine voluptueuse
Et subissant son doux regard
Il déserta la confiseuse

Il lui offrit des bibelots
Car elle aimait les porcelaines
Il fréquenta son bungalow
Assidûment quelques semaines.

La marchande des objets d’art
Ayant une inventive ardeur
Lui promit des choses bizarres
Et il cessa d’être lecteur.


Il commença à hésiter
Puis choisit une eau de toilette
Elle en aima la qualité
L’incita à la galipette

Au bout d’un temps la parfumeuse
Lui sembla des pus désirables
Il quitta donc l’onéreuse
Pour des moments plus délectables

Puis offrit à nouveau des fleurs
Tendues d’une main masculine
Mais il conserva ses valeurs
Ses amours restant féminines

À la pharmacie cependant
une vendeuse s’extasie
Sur les articles conséquents
Nécessaires à sa fantaisie

Il lui en expliqua la cause
Elle prit vite le relais
Disant mon amant est en pause
Remplacez le donc s’il vous plaît.

Comme elle aimait la bonne chère
Il l’emmena au restaurant
Elle adorait la surenchère
Cela en devint fatiguant

Il rencontra une marquises
Millésimée modérément
Pensant que sa tendre entreprise
Ne l’userait que lentement

Hélas la noblesse du jour
N’est plus digne de confiance
Il reçut d’elle en quelques jours
D’un élevage la nuisance

Le pharmacien l’ayant revu
Pour des raisons thérapeutiques
Dans le quartier il fut mal vu
Catalogué peu hygiénique.

Il fit donc le traitement
Puis découvrit avec bonheur
Dans un autre arrondissement
Une dame adorant les fleurs

Se méfiant de la noblesse
Il ne se précipita plus
Sur la particule et la fesse
Dont l’entretien est farfelu

Mais la fleuriste du quartier
Ayant des reliefs favorables
Il s’offrit à elle en entier
Et ainsi se poursuit la fable.













J'ai bien aimé. Très relaxant
Merci
Gaby
 

Kanth

Grand poète
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#5
Une version friponne de « La Ronde », pleine d'imagination !
Le petit inconvénient qui nécessita l'intervention de l'apothicaire était inévitable, un jour ou l'autre. Attention au prochain tour...
 
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