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Ode à la Liberté
Dans les conversations de comptoir
Liberté, je dis ton nom !
Sur le sable et à l'encre noire
Liberté, j'écris ton nom !
Sur les places et les promontoires
Liberté, je crie ton nom !
Dans mes passions et mon art,
Liberté, j'exprime ton nom !
Dans mon style, mes idées phares
Liberté, je vibre ton nom !
Liberté, je t'invoque !
Immortelle et positive
Tu n'en n'est pas moins fugitive
Sous les dictats qui conditionnent
L'on te perd l'on t'abandonne
Trop occupé à la poursuite
Des futilités de la réussite
D'addictions en faiblesses,
Retenu par les laisses
Liberté, je t'incarne !
Impalpable mais pourtant,
L'on perçoit ta fougue dans les éléments,
Tu animes chaque être vivant :
Un cheval qui se cabre,
Une envolée sauvage,
Le saut d'un dauphin,
Les cris de joie d'un enfant
Liberté, je te respecte !
Je remercie le vivant et l'inerte
De me nourrir, me repaitre
Tu es la seule bataille qui se vaille,
Même le trépas ne peut t'emporter,
Mourir libre est le summum de ton nom !
Thomas GHIONE, Juin 2019
inspiré de "Liberté", Paul ELuard
Dans les conversations de comptoir
Liberté, je dis ton nom !
Sur le sable et à l'encre noire
Liberté, j'écris ton nom !
Sur les places et les promontoires
Liberté, je crie ton nom !
Dans mes passions et mon art,
Liberté, j'exprime ton nom !
Dans mon style, mes idées phares
Liberté, je vibre ton nom !
Liberté, je t'invoque !
Immortelle et positive
Tu n'en n'est pas moins fugitive
Sous les dictats qui conditionnent
L'on te perd l'on t'abandonne
Trop occupé à la poursuite
Des futilités de la réussite
D'addictions en faiblesses,
Retenu par les laisses
Liberté, je t'incarne !
Impalpable mais pourtant,
L'on perçoit ta fougue dans les éléments,
Tu animes chaque être vivant :
Un cheval qui se cabre,
Une envolée sauvage,
Le saut d'un dauphin,
Les cris de joie d'un enfant
Liberté, je te respecte !
Je remercie le vivant et l'inerte
De me nourrir, me repaitre
Tu es la seule bataille qui se vaille,
Même le trépas ne peut t'emporter,
Mourir libre est le summum de ton nom !
Thomas GHIONE, Juin 2019
inspiré de "Liberté", Paul ELuard