Hors ligne
Son visage vogue d'été en automne, ses yeux colorant la douce césure.
Et ses longues volutes dans un vent solaire s'épanchent de mèches.
Son sourire vient creuser mon envie, lezardant à ses commissures.
Un baiser presque volé, au bord d'un muret à bout, qui s'ébraiche.
Je dors d'un regard qui plonge, sans jamais avouer, ni que vous sonde,
Cet instant pris au filet, sous d'oriflammes reflets, rougissant chaque secondes.
Comme l'amer monte sur les dunes, caressant les contours d'un jolie songe.
Toujours m'appelle et nous projette l'astre couchant, d'ombres qui s'allongent
Je cache à la joue de ses rires, l'exclamation enfouie d'ivres nuits interdites.
Quand se découpent les syllabes de ses intonations certies, en mes silences Sélénite,
Lorsque se promène simplement la bulle de nos lèvres enlacées, en une image inconnue,
Comment voudriez vous, belle muse, tout évanouie, que s'estompe votre vœux nu?!
Et ses longues volutes dans un vent solaire s'épanchent de mèches.
Son sourire vient creuser mon envie, lezardant à ses commissures.
Un baiser presque volé, au bord d'un muret à bout, qui s'ébraiche.
Je dors d'un regard qui plonge, sans jamais avouer, ni que vous sonde,
Cet instant pris au filet, sous d'oriflammes reflets, rougissant chaque secondes.
Comme l'amer monte sur les dunes, caressant les contours d'un jolie songe.
Toujours m'appelle et nous projette l'astre couchant, d'ombres qui s'allongent
Je cache à la joue de ses rires, l'exclamation enfouie d'ivres nuits interdites.
Quand se découpent les syllabes de ses intonations certies, en mes silences Sélénite,
Lorsque se promène simplement la bulle de nos lèvres enlacées, en une image inconnue,
Comment voudriez vous, belle muse, tout évanouie, que s'estompe votre vœux nu?!