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L'étoffe de la plume a terni, à l'orage qui gronde, au manque d'envie,
La gorge est serrée, le coeur est lourd, les larmes coulent en ode salvatrice.
Je cherche un endroit pour rêver, mais je ne le trouve nulle part,
Même les mots se sont affaissés au coeur de mes remparts.
Je me sens comme étouffée au mal-être de ce monde,
Je voudrais trouver un éden où je pourrais respirer,
Une grande bouffée d'oxygène loin d'une société alitée,
Sourde, aux cris qui chaque jour me déchirent.
Je songe à un ailleurs où la vie coulerait de source,
Mais je ne suis qu'une utopiste qui pense et espère encore et toujours,
Que tout peut changer...que la vapeur peut s'inverser.
Je croise les doigts et je n'ai qu'un voeu...
Que le jour se lève sur des lendemains plus heureux.
La gorge est serrée, le coeur est lourd, les larmes coulent en ode salvatrice.
Je cherche un endroit pour rêver, mais je ne le trouve nulle part,
Même les mots se sont affaissés au coeur de mes remparts.
Je me sens comme étouffée au mal-être de ce monde,
Je voudrais trouver un éden où je pourrais respirer,
Une grande bouffée d'oxygène loin d'une société alitée,
Sourde, aux cris qui chaque jour me déchirent.
Je songe à un ailleurs où la vie coulerait de source,
Mais je ne suis qu'une utopiste qui pense et espère encore et toujours,
Que tout peut changer...que la vapeur peut s'inverser.
Je croise les doigts et je n'ai qu'un voeu...
Que le jour se lève sur des lendemains plus heureux.
