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Πάντα ῥεῖ (Tout passe ou tout coule.)
Pour la saint Valentin je serai besogneux
Non pas pour des actions que le corps imagine
Mais pour ces douces choses issues de la cuisine
L’âge rend plus gourmand mais moins licencieux
Me rappelant que je ne fus pas toujours vieux
J’aurai en mon esprit maintes années câlines
Où vous m’aimiez vaillant où vous étiez coquine
Où nous nous épuisions en jeux délicieux.
Je vous rédigerai de sensuels poèmes
Le corps moins vigoureux le cœur restant le même
Mais regrettant pourtant les bouquets d’autrefois
Alors si d’aimer trop l’amour dicte ses lois
En me moquant du temps et de ses anathèmes
Je serai fou de vous mais une seule fois.
Je vous en prie ma chère gardez votre culotte
Le fait de vous l’ôter peut pousser à l’ouvrage
C’est comme une revue dont la première page
Vers une suite exquise aisément vous pilote
N’attendez pas de moi de stupides parlottes
Seule une sourde envie pourra créer l’orage
Des valentineries faisons un bel usage
Sur un vieil océan où toujours l’amour flotte
Bien sur les préambules auront leur influence
Donner du temps au temps peut mener au bonheur
Redonnant la vigueur à mon impertinence
Alors de nos envies mélangeons les ardeurs
Le cœur plus que le corps gardant des suffisances
Nous verrons un retour du sensuel bonheur.
Pour la saint Valentin je serai besogneux
Non pas pour des actions que le corps imagine
Mais pour ces douces choses issues de la cuisine
L’âge rend plus gourmand mais moins licencieux
Me rappelant que je ne fus pas toujours vieux
J’aurai en mon esprit maintes années câlines
Où vous m’aimiez vaillant où vous étiez coquine
Où nous nous épuisions en jeux délicieux.
Je vous rédigerai de sensuels poèmes
Le corps moins vigoureux le cœur restant le même
Mais regrettant pourtant les bouquets d’autrefois
Alors si d’aimer trop l’amour dicte ses lois
En me moquant du temps et de ses anathèmes
Je serai fou de vous mais une seule fois.
Je vous en prie ma chère gardez votre culotte
Le fait de vous l’ôter peut pousser à l’ouvrage
C’est comme une revue dont la première page
Vers une suite exquise aisément vous pilote
N’attendez pas de moi de stupides parlottes
Seule une sourde envie pourra créer l’orage
Des valentineries faisons un bel usage
Sur un vieil océan où toujours l’amour flotte
Bien sur les préambules auront leur influence
Donner du temps au temps peut mener au bonheur
Redonnant la vigueur à mon impertinence
Alors de nos envies mélangeons les ardeurs
Le cœur plus que le corps gardant des suffisances
Nous verrons un retour du sensuel bonheur.
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