Hors ligne
Alouette gentille alouette je ne te plumerai pas
Dès l’aube chante moi ta chanson c’est de l’amour en ode
J’étais si naïve il y a seulement quelques pages
Quelques lignes
Quelques vers
Quelques mots
Quelques lettres
Tant de pages ancrées de peines et le poids de mes paupières en cet instant T me tétanise
Continuer à écrire ou périr pendue par ces phrases inachevées ?
Cela est dur selon les dires de l’ire de mon esprit
Lire entre les cordes de ma lyre c’est ce que je me dis
Ivre de mots
C’est ma raison de vivre
Mon eau…
Perdurer dans la perdition sans sainteté là n’est pas ma mission
L’année passe vélocement comme ces saletés volatiles
Ne pas avoir pris de résolutions est une bénédiction
Mon monde de « fiction » est mon addiction
Puis comme le dit le dicton
« Que devient le rêveur quand le rêve est fini ? »
Il périt, l’horizon devient flou
Il meurt, ou devient fou
Mon esprit n’est qu’un leurre
Puis tard le soir dès que vient l’heure
Je pose dans le pot de mon esprit ces rîmes pauvres
Dès l’aube chante moi ta chanson c’est de l’amour en ode
J’étais si naïve il y a seulement quelques pages
Quelques lignes
Quelques vers
Quelques mots
Quelques lettres
Tant de pages ancrées de peines et le poids de mes paupières en cet instant T me tétanise
Continuer à écrire ou périr pendue par ces phrases inachevées ?
Cela est dur selon les dires de l’ire de mon esprit
Lire entre les cordes de ma lyre c’est ce que je me dis
Ivre de mots
C’est ma raison de vivre
Mon eau…
Perdurer dans la perdition sans sainteté là n’est pas ma mission
L’année passe vélocement comme ces saletés volatiles
Ne pas avoir pris de résolutions est une bénédiction
Mon monde de « fiction » est mon addiction
Puis comme le dit le dicton
« Que devient le rêveur quand le rêve est fini ? »
Il périt, l’horizon devient flou
Il meurt, ou devient fou
Mon esprit n’est qu’un leurre
Puis tard le soir dès que vient l’heure
Je pose dans le pot de mon esprit ces rîmes pauvres