Poème PAPA, TRENTE TROIS ANS DEJA !

PAPA, TRENTE TROIS ANS DEJA

Trente trois ans déjà, papa, que tu nous à quitter sans lendemain
Trente trois ans déjà que tu nous as laissés, seuls, sur le bord du chemin
Par un après-midi de février, le dix sept, à jamais tes yeux se sont fermés
A notre regard, tu t'es estompé, nous laissant là, désarmés

Que le destin est cruel, à l'amour des tiens il t'a arraché
Éloigné de ta famille, de ton épouse, auxquels tu étais attaché
D'un coup, d'un seul, brutalement, la mort t'a frappé sans prévenir
Alors que tu entrevoyais cette méritée retraite qui allais venir

De tout ce temps passé, de cette vie qui a malgré tout continué
Jamais de mon cœur tu ne t'es éloigné, ni mon amour n'a diminué
Pour nous, sans fin, tu resteras présent dans nos pensées
Jusqu'au jour où, à notre tour, nous ferons la traversée

Que ces quelques mots, papa, venant de mon cœur meurtri
Puissent, à ce jour, trouver en ton âme un écho attendri
Sache bien, qu'à jamais, en nous, ton doux souvenir restera
Et que, malgré les années qui passent, présent pour nous tu seras.


Ton Fils JEAN-YVES

Emouvant souvenir à ton papa.
C'est dur d'être orphelin !
J'ai perdu le mien il y a 49 ans... Il en avait 59, et n'a pas profité d'une retraite pourtant bien méritée.
Je pense toujours à lui.
Je te comprends.
Amicalement

Que c'est BEAU, vraiment touchant, émouvant, un très bel hommage à votre PAPA

Très beau et émouvant Jean Yves
Merci de nous avoir offert cet hommage
Amicalement
Gaby

Merci Sentimentale, c'est comme si c'était hier !
Amitiés, Jean-Yves

Merci CLARI, c'est l'âge qu'avait le mien, il devait prendre sa retraite au mois de Juillet et est tombé au travers d'une toiture au travail !
Amitiés, Jean-yves

Moi je n'ai pas connu le mien et j'ai toujours eu cemanque

C'est très triste.
Le mien fut terrassé par un cancer de la gorge.
J'étais partie pour la première fois en Afrique pour deux ans. Je ne l'ai pas revu...

Nos êtres chers sont à jamais dans nos coeurs. Vous le prouvez en écrivant ce poignant poème.