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Bonjour tas de rimeurs
Vous distillez en rimes bien agréablement
C'est dès le gris matin un doux contentement
à l'aube bien souvent on préfère se taire
Sauf bien évidemment des plumes exemplaires
Votre talent matin pondra quelques hommages
Mais le temps d'aujourd'hui ne lui rend pas hommage
Le vent est déplaisant et l'air restera sec
Les oiseaux n'auront rien pour se mouiller le bec
Ma journée sera simple je conduis mon épouse
Au capilliculteur et tailleur de barbouze
Et puis j'irai chercher où je n'en sais trop rien
Des jeux de cartes neufs pour remplacer les miens
Quand la dernière fois avec mes petits fils
Il fallut d'un rami procéder à l'office
Mes cartes étaient si moches détruites par l'usure
Que j'eus honte soudain de leur laides figures.
J'ai d'un œil paresseux regardé les nouvelles
Elles font c'est navrant le bruit d'une crécelle
La moi-mêmophilie devenant à la mode
De se dire prophète est la chose commode
Et les temps empirant, pullule la sottise
On voyage bien loin d'une terre promise.
Donc je fuis la nouvelle que la presse tricote
Je la sais mensongère manipulée et sotte.
Il nous reste le cœur ses aimantes marées
et les muses charmantes en maints vers égarées.
Vous distillez en rimes bien agréablement
C'est dès le gris matin un doux contentement
à l'aube bien souvent on préfère se taire
Sauf bien évidemment des plumes exemplaires
Votre talent matin pondra quelques hommages
Mais le temps d'aujourd'hui ne lui rend pas hommage
Le vent est déplaisant et l'air restera sec
Les oiseaux n'auront rien pour se mouiller le bec
Ma journée sera simple je conduis mon épouse
Au capilliculteur et tailleur de barbouze
Et puis j'irai chercher où je n'en sais trop rien
Des jeux de cartes neufs pour remplacer les miens
Quand la dernière fois avec mes petits fils
Il fallut d'un rami procéder à l'office
Mes cartes étaient si moches détruites par l'usure
Que j'eus honte soudain de leur laides figures.
J'ai d'un œil paresseux regardé les nouvelles
Elles font c'est navrant le bruit d'une crécelle
La moi-mêmophilie devenant à la mode
De se dire prophète est la chose commode
Et les temps empirant, pullule la sottise
On voyage bien loin d'une terre promise.
Donc je fuis la nouvelle que la presse tricote
Je la sais mensongère manipulée et sotte.
Il nous reste le cœur ses aimantes marées
et les muses charmantes en maints vers égarées.
Que la journée vous soit
De satin ou de soie
enfin en trucs plaisants
dans un jour apaisant.
et évitez surtout dans le bol du matin
de troubler le calva en y mettant du pain!
De satin ou de soie
enfin en trucs plaisants
dans un jour apaisant.
et évitez surtout dans le bol du matin
de troubler le calva en y mettant du pain!