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- SIX-FOURS LES PLAGES
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PECHEURS DE MAI
Il souffle ce diable de mistral, emportant tout sur son chemin,
La mer se gonfle, roule, s’enroule, explose sur la plage
Entraînant sable et galets, vers les fonds marins !
L’eau se trouble, les vagues se coiffent de mousse blanche,
Les goélands planent, survolent ces eaux sauvages
Parfois même plongent, pêchent et s’évadent......
Les mouettes se laissent porter par Eole
Elles semblent isolées ,seules au monde
Virevoltant selon la fantaisie du vent...
La houle tumultueuse, frappe les rochers,
Mouvement incessant ,semblant se fâcher,
Sous un soleil timide ,aux rayons frileux !
Un pêcheur un peu « fada, » sur la plage se débat,
Faisant tourbillonner son lancé
D’un geste sûr, l’hameçon disparait dans la mer
Il gesticule, avance ,semble entamer une danse
Le fils est ,distendu , prêt à casser,
L’homme est tendu, prêt à gagner...
Du haut de la falaise, décoiffée et ventée
Je suis témoin de la pêche miraculeuse
Du fada de la plage, en bas de chez moi !
En trois mouvements bien raisonnés
Le pêcheur sort une pièce d’au moins deux kilos
Aidé d’un ami aussi dingo !
Un loup, mes amis, majestueux, mais trop curieux,
Qui ce jour là, pêché ,par mon fana de mari
A combler famille et amis,
Grillé, au fenouil, je v
ous assure
une super tambouille !
G.PERRIN Un aprés midi venteux de mai 2000
en compagnie de Daniel Jung
Il souffle ce diable de mistral, emportant tout sur son chemin,
La mer se gonfle, roule, s’enroule, explose sur la plage
Entraînant sable et galets, vers les fonds marins !
L’eau se trouble, les vagues se coiffent de mousse blanche,
Les goélands planent, survolent ces eaux sauvages
Parfois même plongent, pêchent et s’évadent......
Les mouettes se laissent porter par Eole
Elles semblent isolées ,seules au monde
Virevoltant selon la fantaisie du vent...
La houle tumultueuse, frappe les rochers,
Mouvement incessant ,semblant se fâcher,
Sous un soleil timide ,aux rayons frileux !
Un pêcheur un peu « fada, » sur la plage se débat,
Faisant tourbillonner son lancé
D’un geste sûr, l’hameçon disparait dans la mer
Il gesticule, avance ,semble entamer une danse
Le fils est ,distendu , prêt à casser,
L’homme est tendu, prêt à gagner...
Du haut de la falaise, décoiffée et ventée
Je suis témoin de la pêche miraculeuse
Du fada de la plage, en bas de chez moi !
En trois mouvements bien raisonnés
Le pêcheur sort une pièce d’au moins deux kilos
Aidé d’un ami aussi dingo !
Un loup, mes amis, majestueux, mais trop curieux,
Qui ce jour là, pêché ,par mon fana de mari
A combler famille et amis,
Grillé, au fenouil, je v
une super tambouille !
G.PERRIN Un aprés midi venteux de mai 2000
en compagnie de Daniel Jung
