- Inscrit
- 16 Septembre 2019
- Messages
- 1,101
- J'aime
- 1,906
- Points
- 178
- Age
- 62
- Localité
- Nord et Dordogne
- Je suis
- Un homme
Hors ligne
Pensées océanes et marines
Le soleil au zénith, sous un ciel azur
Je marche, seul et libre, me sens Robinson
En osmose, avec les éléments, la nature
Aux couleurs bigarrées me met en pamoison.
Un léger vent marin soulève les cheveux
Il caresse de ses doigts la peau de la mer
Elle frémit de plaisir, de ce jeu amoureux
Et des vagues, pousse les embruns vers la terre.
Un instant, je m’arrête devant la beauté
De l’océan, tout est grand, calme et naturel
Tel un tableau vivant, virginale pureté
Qui a gardé en lui son aspect temporel.
Sur la plage, au sable blanc, je peux entendre
Passer au dessus de moi un vol gracieux
D’oiseaux, allant pêcher, plonger et surprendre
Les poissons, emportant ce butin précieux.
Et je vois au loin naviguer un beau trois-mâts
Toutes voiles dehors, il vogue sur les flots
Fier et orgueilleux, de ce panorama
Je rêve d’être pirate, un vrai héros !
Je me laisse bercer par le bruit des vagues
Qui viennent mourir aux abords des rochers
Ce doux clapotis reposant, je divague
Et je m’endors au milieu des palmiers.
Horizon marin sur l’infini océan
Bleu de mer, ciel azur, plage diamant
Sable blond, vent musical qui chante l’appel
Vers le large, de partir vers les archipels.
Le Soleil rougeoie de ses derniers éclats
Il s’enfonce délicatement dans les bras
Abyssaux, laissant la Lune aux reflets d’or
Conquérir ton regard et caresser ton corps.
Entre chien et loup, à la tombée du jour
Les vagues éreintées réclament de l’amour
Leurs sensuels mouvements lascifs et charnels
T’invitent à goûter leurs charmes corporels.
Plonger dans les eaux turquoise et ressentir
Sur sa peau, des doigts cajoleurs, pouvoir jouir
De plaisirs naturels et l’ultime orgasme
Ce feu d’artifice né de tous tes fantasmes !
Minuit, parmi un champ d’étoiles, j’aperçois
Les tendres rayons de lune, se refléter
Dans les eaux turquoise du lagon, j’entrevois
Ma vie au paradis, en cette nuit d’été !
Mon âme vagabonde sur les flots, la mer
Berce de ses doux câlins, mes calmes pensées
J’imagine surgir du grand bleu, des chimères
Et des monstres que je ne peux pas distancer.
Et si mon être devenait soudain poisson
Je musarderais nonchalant entre anémones
Et coraux, en évitant les hameçons
Des chalutiers à l’abri dans les gorgones.
Au fond des abysses, découvrir l’Atlantide
Et discuter avec le célèbre Platon
Sur un temple, contempler les Caryatides
Et peut-être faire l’aquatique Marathon !
Le soleil au zénith, sous un ciel azur
Je marche, seul et libre, me sens Robinson
En osmose, avec les éléments, la nature
Aux couleurs bigarrées me met en pamoison.
Un léger vent marin soulève les cheveux
Il caresse de ses doigts la peau de la mer
Elle frémit de plaisir, de ce jeu amoureux
Et des vagues, pousse les embruns vers la terre.
Un instant, je m’arrête devant la beauté
De l’océan, tout est grand, calme et naturel
Tel un tableau vivant, virginale pureté
Qui a gardé en lui son aspect temporel.
Sur la plage, au sable blanc, je peux entendre
Passer au dessus de moi un vol gracieux
D’oiseaux, allant pêcher, plonger et surprendre
Les poissons, emportant ce butin précieux.
Et je vois au loin naviguer un beau trois-mâts
Toutes voiles dehors, il vogue sur les flots
Fier et orgueilleux, de ce panorama
Je rêve d’être pirate, un vrai héros !
Je me laisse bercer par le bruit des vagues
Qui viennent mourir aux abords des rochers
Ce doux clapotis reposant, je divague
Et je m’endors au milieu des palmiers.
Horizon marin sur l’infini océan
Bleu de mer, ciel azur, plage diamant
Sable blond, vent musical qui chante l’appel
Vers le large, de partir vers les archipels.
Le Soleil rougeoie de ses derniers éclats
Il s’enfonce délicatement dans les bras
Abyssaux, laissant la Lune aux reflets d’or
Conquérir ton regard et caresser ton corps.
Entre chien et loup, à la tombée du jour
Les vagues éreintées réclament de l’amour
Leurs sensuels mouvements lascifs et charnels
T’invitent à goûter leurs charmes corporels.
Plonger dans les eaux turquoise et ressentir
Sur sa peau, des doigts cajoleurs, pouvoir jouir
De plaisirs naturels et l’ultime orgasme
Ce feu d’artifice né de tous tes fantasmes !
Minuit, parmi un champ d’étoiles, j’aperçois
Les tendres rayons de lune, se refléter
Dans les eaux turquoise du lagon, j’entrevois
Ma vie au paradis, en cette nuit d’été !
Mon âme vagabonde sur les flots, la mer
Berce de ses doux câlins, mes calmes pensées
J’imagine surgir du grand bleu, des chimères
Et des monstres que je ne peux pas distancer.
Et si mon être devenait soudain poisson
Je musarderais nonchalant entre anémones
Et coraux, en évitant les hameçons
Des chalutiers à l’abri dans les gorgones.
Au fond des abysses, découvrir l’Atlantide
Et discuter avec le célèbre Platon
Sur un temple, contempler les Caryatides
Et peut-être faire l’aquatique Marathon !