Hors ligne
Encore une nuit à me perdre dans mes pensées,
Le cœur lourd, comme si le monde m'avait oublié.
Chaque pas me semble incertain,
Et la route, si longue, me paraît sans fin.
Je me demande où est passée la lumière,
Cette flamme qui jadis brillait si clair.
J'ai beau tendre la main, essayer de l’attraper,
Mais elle s'échappe, comme un rêve envolé.
Mes erreurs, je les porte comme des chaînes,
Chaque souvenir, une blessure qui saigne.
Je hurle en silence, personne ne m'entend,
Mais je continue à avancer, même en tombant.
Les promesses que j'avais faites à moi-même,
Ont fini par se briser, effacées par la peine.
Je voulais croire en demain,
Mais la réalité m’a tiré vers ce chemin.
Un chemin plein d’obstacles, de doutes, de peur,
Où l'espoir vacille, consumé par l'ardeur.
Pourtant, quelque chose en moi refuse d'abandonner,
Une petite voix qui me chuchote : "Tu peux encore avancer."
Même si tout semble sombre,
Et que l'ombre m'enlace dans son étreinte,
Je refuse de céder, de disparaître,
Car au fond de moi, je sais que j’ai encore cette force secrète.
Alors, je marche, même avec ces plaies ouvertes,
Cherchant cette lumière, cette vérité peut-être,
Un jour, je trouverai cette route cachée,
Et enfin, je pourrai me libérer.
Le cœur lourd, comme si le monde m'avait oublié.
Chaque pas me semble incertain,
Et la route, si longue, me paraît sans fin.
Je me demande où est passée la lumière,
Cette flamme qui jadis brillait si clair.
J'ai beau tendre la main, essayer de l’attraper,
Mais elle s'échappe, comme un rêve envolé.
Mes erreurs, je les porte comme des chaînes,
Chaque souvenir, une blessure qui saigne.
Je hurle en silence, personne ne m'entend,
Mais je continue à avancer, même en tombant.
Les promesses que j'avais faites à moi-même,
Ont fini par se briser, effacées par la peine.
Je voulais croire en demain,
Mais la réalité m’a tiré vers ce chemin.
Un chemin plein d’obstacles, de doutes, de peur,
Où l'espoir vacille, consumé par l'ardeur.
Pourtant, quelque chose en moi refuse d'abandonner,
Une petite voix qui me chuchote : "Tu peux encore avancer."
Même si tout semble sombre,
Et que l'ombre m'enlace dans son étreinte,
Je refuse de céder, de disparaître,
Car au fond de moi, je sais que j’ai encore cette force secrète.
Alors, je marche, même avec ces plaies ouvertes,
Cherchant cette lumière, cette vérité peut-être,
Un jour, je trouverai cette route cachée,
Et enfin, je pourrai me libérer.