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Philosophes affables ?
J’aime les philosophes, ceux dont la pensée pure
Met sur l’humanité leur belle signature,
Ceux qui dans la noirceur découvrent des lueurs
Et ceux dont les écrits mettent la joie au cœur.
J’aime les sérieux les « connais-toi, toi-même »
Qui font de mon esprit un banquet sans carême
Ceux disant simplement « tu penses donc tu es »
Je m’en sens exister et un peu moins benêt
Ceux jouissant de la vie en sachant s’en saisir
Philosopher aussi c’est apprendre à mourir.
Hélas le philosophe n’aime pas le poète
Les muses contrarient ce qu’il a dans la tête
Mais la pensée profonde peut se faire préalable
À des textes rimant de façon agréable.
Il y a des pseudo-philosophes en revanche
Qui sortent des pensées insensées de leur manche
Pitres télévisuels et vomisseurs de mots
Noyant leurs auditeurs sous leurs imbroglios
Pensant à votre place vous disant quoi penser
Surs de leur connerie sans jamais hésiter.
Ils connaissent le beau, le vrai il le maitrise
Soyez le con de base admirant leur sottise
Ils se croient très profond et ils ne sont que creux
Ne vendant que des riens qui rendent malheureux.
Fuyez tous ces marchands et leur terrible engeance
Manquant d’échantillons de simple intelligence.
Ne lisez que les grands ayant pignon sur rue
Qui comme vous et moi sont assis sur leur cul
Et qui n’inventent pas des mots à manivelle
Qu’on peut tourner des mois sans la moindre étincelle.
Moralité
Les philosophes sont de simples champignons
Certains sont savoureux d’autres pleins de poison
Il faut faire le tri et par discernement
Sortir les perles rares du flot d’incompétents.
J’aime les philosophes, ceux dont la pensée pure
Met sur l’humanité leur belle signature,
Ceux qui dans la noirceur découvrent des lueurs
Et ceux dont les écrits mettent la joie au cœur.
J’aime les sérieux les « connais-toi, toi-même »
Qui font de mon esprit un banquet sans carême
Ceux disant simplement « tu penses donc tu es »
Je m’en sens exister et un peu moins benêt
Ceux jouissant de la vie en sachant s’en saisir
Philosopher aussi c’est apprendre à mourir.
Hélas le philosophe n’aime pas le poète
Les muses contrarient ce qu’il a dans la tête
Mais la pensée profonde peut se faire préalable
À des textes rimant de façon agréable.
Il y a des pseudo-philosophes en revanche
Qui sortent des pensées insensées de leur manche
Pitres télévisuels et vomisseurs de mots
Noyant leurs auditeurs sous leurs imbroglios
Pensant à votre place vous disant quoi penser
Surs de leur connerie sans jamais hésiter.
Ils connaissent le beau, le vrai il le maitrise
Soyez le con de base admirant leur sottise
Ils se croient très profond et ils ne sont que creux
Ne vendant que des riens qui rendent malheureux.
Fuyez tous ces marchands et leur terrible engeance
Manquant d’échantillons de simple intelligence.
Ne lisez que les grands ayant pignon sur rue
Qui comme vous et moi sont assis sur leur cul
Et qui n’inventent pas des mots à manivelle
Qu’on peut tourner des mois sans la moindre étincelle.
Moralité
Les philosophes sont de simples champignons
Certains sont savoureux d’autres pleins de poison
Il faut faire le tri et par discernement
Sortir les perles rares du flot d’incompétents.