- Inscrit
- 5 Juillet 2020
- Messages
- 131
- J'aime
- 150
- Points
- 93
- Localité
- Criquebeuf-sur-Seine
- Je suis
- Un homme
Hors ligne
Je crois que le temps est venu
Là où la Poësie n'est plus!
L'alchimie du Verbe nous a quitté
L'emplacement qu'on lui avait donné!
Beauté et fragilité des lettres
N'atteignant plus la sensibilité des êtres
C'est pourquoi comme un Atlante
Ornant de façon rayonnante
De lourds édifices
Je me dis garant sans artifice
Porteur de l'amalgame poëtique
Au nom d'Atlas le long de ma tête onirique
Je serai le nouvel homme d'une mythologie
Qu'in vente mon inéluctable génie,
Mon esprit chimérisant.
L'Homme est fort grand
Mais hélas! petit d'esprit
Il envie tout et tout pourrit.
Il créé et anéantit, pan!
Tout à la fois, pan-niqué!
Déchéant,
Chiqué! ...
Nous avons oublié l'oisiveté
Nous nous morfondons dans l'ennui
Le mépris et les serments d'hypocrisies,
Le travail... Tout ce qu'il nous faut jeter!
On a tout oublié de la littérature
on blasphème l'Ecriture,
Moi, je découvrirai le ciel par le vent de ma plume
Et j'élèverai tous les coeurs que je rallument.
Par un bruit de tempête
Je réveillerai les vents des lettres
Qui balaieront d'un coup de plume
Comme jadis les mousquetaires
Tous ces soldats partis en guerre
Les coeurs, les âmes et les êtres
En un immense amas de corps qui fume
Les carcasses brûleront en un crématorium de conquêtes.
Theysgeur-S. Avril 2007. VdR
Là où la Poësie n'est plus!
L'alchimie du Verbe nous a quitté
L'emplacement qu'on lui avait donné!
Beauté et fragilité des lettres
N'atteignant plus la sensibilité des êtres
C'est pourquoi comme un Atlante
Ornant de façon rayonnante
De lourds édifices
Je me dis garant sans artifice
Porteur de l'amalgame poëtique
Au nom d'Atlas le long de ma tête onirique
Je serai le nouvel homme d'une mythologie
Qu'in vente mon inéluctable génie,
Mon esprit chimérisant.
L'Homme est fort grand
Mais hélas! petit d'esprit
Il envie tout et tout pourrit.
Il créé et anéantit, pan!
Tout à la fois, pan-niqué!
Déchéant,
Chiqué! ...
Nous avons oublié l'oisiveté
Nous nous morfondons dans l'ennui
Le mépris et les serments d'hypocrisies,
Le travail... Tout ce qu'il nous faut jeter!
On a tout oublié de la littérature
on blasphème l'Ecriture,
Moi, je découvrirai le ciel par le vent de ma plume
Et j'élèverai tous les coeurs que je rallument.
Par un bruit de tempête
Je réveillerai les vents des lettres
Qui balaieront d'un coup de plume
Comme jadis les mousquetaires
Tous ces soldats partis en guerre
Les coeurs, les âmes et les êtres
En un immense amas de corps qui fume
Les carcasses brûleront en un crématorium de conquêtes.
Theysgeur-S. Avril 2007. VdR