Hors ligne
Je tends mon visage à la pluie glacée
En cette triste soirée d’été
Les lèvres des Vosges, moroses, s’allument
Les gens autour, pantois, tous hument
L’odeur fanée, le pétrichor
Et dans l’allée, errent des frêles corps
Qui déambulent, un peu fumistes;
Comme s’ils dansaient, tous une piste piste
A l’atmosphère mélancolique
Déboussolés, comme alcooliques
Mais le soleil caché ressurgira
Des cendres opaques d’une supernova
Et le plasma, très chaud, brûlant
Ballera la valse à mille temps
En cette triste soirée d’été
Les lèvres des Vosges, moroses, s’allument
Les gens autour, pantois, tous hument
L’odeur fanée, le pétrichor
Et dans l’allée, errent des frêles corps
Qui déambulent, un peu fumistes;
Comme s’ils dansaient, tous une piste piste
A l’atmosphère mélancolique
Déboussolés, comme alcooliques
Mais le soleil caché ressurgira
Des cendres opaques d’une supernova
Et le plasma, très chaud, brûlant
Ballera la valse à mille temps