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L'hiver passe sous ma fenêtre
Quand moi je rêve du printemps,
Le froid ne porte pas de gants,
Il crie que sa loi vient de naître
C'est ainsi, chaque centimètre
Se cristallise, et devient blanc.
Sous l'océan où tout est grand
Les orques du froid sont les maîtres.
O, je respire calmement,
La nature jamais ne ment
Même cruelle, elle reste belle.
Le vent écrit tout cela, certes
Sur la feuille brune sensuelle
Lâchée du ciel qu'elle déserte.
Moïse
tous droits
réservés
Quand moi je rêve du printemps,
Le froid ne porte pas de gants,
Il crie que sa loi vient de naître
C'est ainsi, chaque centimètre
Se cristallise, et devient blanc.
Sous l'océan où tout est grand
Les orques du froid sont les maîtres.
O, je respire calmement,
La nature jamais ne ment
Même cruelle, elle reste belle.
Le vent écrit tout cela, certes
Sur la feuille brune sensuelle
Lâchée du ciel qu'elle déserte.
Moïse
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