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Chasse dans ma tête
Ça me fait mal de t’avoir fait
Une nouvelle fois autant souffrir
Que ça soit mon jeu de séduction
Envers une autre que toi et
Par une forme infidèle de trahison
Littéraire jusqu’à te mentir.
Oui ça fait mal de te faire tant de mal
Dans mes écrits déjà je me le persuadais
Je luttais sans cesse contre mes propres démons
Mais toujours plus fortes étaient mes émotions
De poètes maudits jusqu’à m’alcooliser
En mélangeant avec mes substances médicales.
Tu m’as posé un dernier ultimatum
Pour savoir ce que je veux vraiment
Et je chasse l’Antéchrist de mon cortex cérébral
Car c’est toi qui gît au fin fond de mon cœur viscéral
C’est à toi que revient mon amour passionnément
Envers toi, mon unique femme, dont je serai, j'espère, l’unique homme.
A ma femme que j'aime
Je sais qu'il nous faut du temps
Pour tout reconstruire du fait
De mes erreurs et de mes défauts
Artistiques de poète inconscient
De mauvais esprits intersidéraux
Qui agissent en accomplis méfaits.
C'est toi me Reine des Abelhas
qui veut sans cesse te butiner
Je ne suis qu'un faux bourdon
Qui virevolte mais qui sans cesse vers toi
Reviens dans la ruche pour procréer
Tu me fais forgeron de ton bourgeon
Sacré pour procréer et te redonner confiance
Dans ton bien-être en surabondance.
Je sais que la route sera longue et palpitante
Mais tu connais mon âme combattante.
Même si j'ai l'esprit critique artistique
Le fond de mon cœur t'est tout à toi
Même si j'ai au fond de moi une âme poétique
Tout t'appartient ma chère Impératrice Déborah.
Jusqu'au fin fond de mon être c'est toi que j'aime
Jusqu'au bout du monde, c'est toi que je ne veux perdre
Tu es la seule et unique femme avec qui je fais l'amour
Tu es le seule être, la seule âme, nuit et jour,
Avec qui je veux vivre et mourir, même par mes écrits bohèmes,
Car c'est toi la plus sublime femme en or superbe.
Ceci est un recueil de poèmes que j'ai écrit de février à aujourd'hui. J'ai eu un traumatisme crânien au travail, mais j'ai toujours eu une âme de poète par ma famille, mais aussi à l'école en faisant la connaissance notamment de Rimbaud. Avec ma femme, nous sommes en FIV depuis 8 ans sans réussite. De plus, fin janvier, pour une fois la FIV avait fonctionné, l'embryon était mal placé et ma femme a dû subir un avortement obligatoire pour des raisons de santé. De même, depuis 18 ans que nous sommes ensemble, ma femme et moi-même avions subi l'alcoolisme de son père et les tensions qui allaient avec entre ses parents qui retombaient souvent sur ma femme. Moi étant de conscience bienveillante, j'ai toujours voulu la paix envers tout le monde mais ça a toujours été conflictuel encore maintenant. Même notre couple, depuis le début, a toujours eu des engueulades et des réconciliations. Puis en février, 2024, j'ai intégré l'UEROS de LADAPT d'Evreux, pour les cérébro-lésés, suite à mon traumatisme crânien. J'ai fait la rencontre d'une jeune femme qui m'a fait penser à autre chose que tout ce que nous vivons avec ma femme. Je l'ai tout de suite vue comme ma petite-sœur, mais au-fur-et-à-mesure, mes sentiments se transformèrent en sublimation. Même si je ne voulais pas tromper ma femme que j'aime toujours autant, j'ai préféré écrire ce que je ressentais pour cette jeune femme, tout en sachant que c'était mal. Du coup, je suis tombé dans les traitements d'antidépresseurs, des sédatifs et l'alcoolisme pour m'aider à chasser du mieux possible mes pensées. J'espère que vous verrez dans mes poèmes qu'il n'y a jamais eu de pensées sexuels, mais plutôt séductrices, envers cette femme ; tout en voyant que je savais ce que je ressentais était mal et me donner l'envi de mettre fin à mes jours pour foutre la paix à tout le monde, notamment à ma femme, et à mon esprit poétique. On ne contrôle pas forcément ses sentiments, mais pour moi l'écriture m'aide plutôt que d'aller de l'avant promptement sans réfléchir. Comme disait Arthur Rimbaud "Je est un autre", et en effet, ce "Je" pour Inès est celui qu'il aurait voulu être s'ils s'étaient rencontrés plus tôt sans être mariés, mais le "Je" pour ma femme et moi-même est vraiment sincère. J'en ai marre de voir souffrir ma femme à tout point de vue, et j'en ai marre de la faire souffrir moi-même par des poèmes et des discussions par SMS de courtoisie pudibonde. Mais jamais, au grand jamais, je n'ai voulu tromper ma femme physiquement avec une autre. Je l'aime plus que tout, mais ce fut pour moi comme un échappatoire et un exutoire. Je ne veux la perdre et pourtant j'ai peur qu'elle pense à divorcer. Tout ce que je lui souhaite, c'est son bonheur, son bien-être, la sérénité, son amour et la paix.
Je vous remercie de m'avoir lu.
A ma femme que j'aime d'un véritable amour véridique et sincère.
Ça me fait mal de t’avoir fait
Une nouvelle fois autant souffrir
Que ça soit mon jeu de séduction
Envers une autre que toi et
Par une forme infidèle de trahison
Littéraire jusqu’à te mentir.
Oui ça fait mal de te faire tant de mal
Dans mes écrits déjà je me le persuadais
Je luttais sans cesse contre mes propres démons
Mais toujours plus fortes étaient mes émotions
De poètes maudits jusqu’à m’alcooliser
En mélangeant avec mes substances médicales.
Tu m’as posé un dernier ultimatum
Pour savoir ce que je veux vraiment
Et je chasse l’Antéchrist de mon cortex cérébral
Car c’est toi qui gît au fin fond de mon cœur viscéral
C’est à toi que revient mon amour passionnément
Envers toi, mon unique femme, dont je serai, j'espère, l’unique homme.
A ma femme que j'aime
Je sais qu'il nous faut du temps
Pour tout reconstruire du fait
De mes erreurs et de mes défauts
Artistiques de poète inconscient
De mauvais esprits intersidéraux
Qui agissent en accomplis méfaits.
C'est toi me Reine des Abelhas
qui veut sans cesse te butiner
Je ne suis qu'un faux bourdon
Qui virevolte mais qui sans cesse vers toi
Reviens dans la ruche pour procréer
Tu me fais forgeron de ton bourgeon
Sacré pour procréer et te redonner confiance
Dans ton bien-être en surabondance.
Je sais que la route sera longue et palpitante
Mais tu connais mon âme combattante.
Même si j'ai l'esprit critique artistique
Le fond de mon cœur t'est tout à toi
Même si j'ai au fond de moi une âme poétique
Tout t'appartient ma chère Impératrice Déborah.
Jusqu'au fin fond de mon être c'est toi que j'aime
Jusqu'au bout du monde, c'est toi que je ne veux perdre
Tu es la seule et unique femme avec qui je fais l'amour
Tu es le seule être, la seule âme, nuit et jour,
Avec qui je veux vivre et mourir, même par mes écrits bohèmes,
Car c'est toi la plus sublime femme en or superbe.
Ceci est un recueil de poèmes que j'ai écrit de février à aujourd'hui. J'ai eu un traumatisme crânien au travail, mais j'ai toujours eu une âme de poète par ma famille, mais aussi à l'école en faisant la connaissance notamment de Rimbaud. Avec ma femme, nous sommes en FIV depuis 8 ans sans réussite. De plus, fin janvier, pour une fois la FIV avait fonctionné, l'embryon était mal placé et ma femme a dû subir un avortement obligatoire pour des raisons de santé. De même, depuis 18 ans que nous sommes ensemble, ma femme et moi-même avions subi l'alcoolisme de son père et les tensions qui allaient avec entre ses parents qui retombaient souvent sur ma femme. Moi étant de conscience bienveillante, j'ai toujours voulu la paix envers tout le monde mais ça a toujours été conflictuel encore maintenant. Même notre couple, depuis le début, a toujours eu des engueulades et des réconciliations. Puis en février, 2024, j'ai intégré l'UEROS de LADAPT d'Evreux, pour les cérébro-lésés, suite à mon traumatisme crânien. J'ai fait la rencontre d'une jeune femme qui m'a fait penser à autre chose que tout ce que nous vivons avec ma femme. Je l'ai tout de suite vue comme ma petite-sœur, mais au-fur-et-à-mesure, mes sentiments se transformèrent en sublimation. Même si je ne voulais pas tromper ma femme que j'aime toujours autant, j'ai préféré écrire ce que je ressentais pour cette jeune femme, tout en sachant que c'était mal. Du coup, je suis tombé dans les traitements d'antidépresseurs, des sédatifs et l'alcoolisme pour m'aider à chasser du mieux possible mes pensées. J'espère que vous verrez dans mes poèmes qu'il n'y a jamais eu de pensées sexuels, mais plutôt séductrices, envers cette femme ; tout en voyant que je savais ce que je ressentais était mal et me donner l'envi de mettre fin à mes jours pour foutre la paix à tout le monde, notamment à ma femme, et à mon esprit poétique. On ne contrôle pas forcément ses sentiments, mais pour moi l'écriture m'aide plutôt que d'aller de l'avant promptement sans réfléchir. Comme disait Arthur Rimbaud "Je est un autre", et en effet, ce "Je" pour Inès est celui qu'il aurait voulu être s'ils s'étaient rencontrés plus tôt sans être mariés, mais le "Je" pour ma femme et moi-même est vraiment sincère. J'en ai marre de voir souffrir ma femme à tout point de vue, et j'en ai marre de la faire souffrir moi-même par des poèmes et des discussions par SMS de courtoisie pudibonde. Mais jamais, au grand jamais, je n'ai voulu tromper ma femme physiquement avec une autre. Je l'aime plus que tout, mais ce fut pour moi comme un échappatoire et un exutoire. Je ne veux la perdre et pourtant j'ai peur qu'elle pense à divorcer. Tout ce que je lui souhaite, c'est son bonheur, son bien-être, la sérénité, son amour et la paix.
Je vous remercie de m'avoir lu.
A ma femme que j'aime d'un véritable amour véridique et sincère.
