- Inscrit
- 19 Octobre 2018
- Messages
- 3,024
- J'aime
- 5,576
- Points
- 173
- Age
- 84
- Localité
- Orléans
- Je suis
- Un homme
Hors ligne
Parents il vous faut lire cette fable aux enfants :
La petite souris et le gros éléphant
Animal africain, souris de son état,
Partie de Tanzanie elle vint au Kenya.
Elle était assoiffée et chercha un peu d’eau
Pour s’y désaltérer et laver son museau.
Profitant sans souci du grand lac Victoria
Elle entendit au loin un immense fracas,
Vit arriver, soudain, un troupeau d’éléphants
Qui se précipita dans l’eau en barrissant.
Tous ces proboscidiens effrayèrent la souris
Faisant des vagues qui semblaient des tsunamis.
La petite Minny, s’éloigna un moment
Pour chercher quelques graines à mettre sous sa dent
Disant je reviendrai quand les porteurs d’ivoire
Auront enfin fini de jouer et de boire.
Ce qui se produisit : les pataugeuses bêtes
Finirent de s’abreuver, cessèrent leur toilette.
Seul un jeune éléphant, plus qu’un éléphanteau,
Ne suivit pas la troupe, étant assis dans l’eau.
La souris intriguée approcha du baigneur,
Pas trop près cependant, et vit avec stupeur
Que l’animal pleurait des larmes de géant,
Sur sa trompe coulaient des pleurs abondamment.
En s’approchant plus près la petite souris
Lui demanda dis moi, quel est donc ton souci ?
L’animal l’observa et sans la moindre peur
Expliqua sur le champ sa cause de douleur ;
Car en opposition à ce que les gens disent
L’éléphant ne craint pas les petites souris grises.
J’ai, dit le malheureux, marché sur des épines
L’une restant plantée sans cesse me taquine
Provoquant dans mon pied une douleur aiguë
M’empêchant de marcher pour suivre ma tribu.
La souris s’attaqua à la méchante épine
Et en faisant levier avec une badine
Sortit l’objet pointu du pied de l’éléphant.
Qui se remit sur pied, partit en sifflotant.
Remerciant Minny de son habileté,
Disant que pour la vie il est son obligé
Et qu’au moindre danger, si elle émet un cri
Il viendrait sur le champ faire fuir son ennemi.
Très peu de temps après notre aimable souris
Se trouva attaquée par un vieux mistigri
Qui étant affamé par une longue route
Voulut, de la souris, se faire un casse-croûte ;
Notre petite amie hurla en appelant
Au secours, son ami, son copain, l’éléphant.
Qui arriva très vite et qui écrabouilla,
D’un seul coup de sa patte, la queue du vilain chat.
Moralité
Les petits ont souvent un rôle plus important
Que leur taille l’annonce or il y a des grands
Sachant le reconnaître et c’est dans l’harmonie
Que l’on voit s’entraider les grands et les petits.
La petite souris et le gros éléphant
Animal africain, souris de son état,
Partie de Tanzanie elle vint au Kenya.
Elle était assoiffée et chercha un peu d’eau
Pour s’y désaltérer et laver son museau.
Profitant sans souci du grand lac Victoria
Elle entendit au loin un immense fracas,
Vit arriver, soudain, un troupeau d’éléphants
Qui se précipita dans l’eau en barrissant.
Tous ces proboscidiens effrayèrent la souris
Faisant des vagues qui semblaient des tsunamis.
La petite Minny, s’éloigna un moment
Pour chercher quelques graines à mettre sous sa dent
Disant je reviendrai quand les porteurs d’ivoire
Auront enfin fini de jouer et de boire.
Ce qui se produisit : les pataugeuses bêtes
Finirent de s’abreuver, cessèrent leur toilette.
Seul un jeune éléphant, plus qu’un éléphanteau,
Ne suivit pas la troupe, étant assis dans l’eau.
La souris intriguée approcha du baigneur,
Pas trop près cependant, et vit avec stupeur
Que l’animal pleurait des larmes de géant,
Sur sa trompe coulaient des pleurs abondamment.
En s’approchant plus près la petite souris
Lui demanda dis moi, quel est donc ton souci ?
L’animal l’observa et sans la moindre peur
Expliqua sur le champ sa cause de douleur ;
Car en opposition à ce que les gens disent
L’éléphant ne craint pas les petites souris grises.
J’ai, dit le malheureux, marché sur des épines
L’une restant plantée sans cesse me taquine
Provoquant dans mon pied une douleur aiguë
M’empêchant de marcher pour suivre ma tribu.
La souris s’attaqua à la méchante épine
Et en faisant levier avec une badine
Sortit l’objet pointu du pied de l’éléphant.
Qui se remit sur pied, partit en sifflotant.
Remerciant Minny de son habileté,
Disant que pour la vie il est son obligé
Et qu’au moindre danger, si elle émet un cri
Il viendrait sur le champ faire fuir son ennemi.
Très peu de temps après notre aimable souris
Se trouva attaquée par un vieux mistigri
Qui étant affamé par une longue route
Voulut, de la souris, se faire un casse-croûte ;
Notre petite amie hurla en appelant
Au secours, son ami, son copain, l’éléphant.
Qui arriva très vite et qui écrabouilla,
D’un seul coup de sa patte, la queue du vilain chat.
Moralité
Les petits ont souvent un rôle plus important
Que leur taille l’annonce or il y a des grands
Sachant le reconnaître et c’est dans l’harmonie
Que l’on voit s’entraider les grands et les petits.